Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 13:59

Il y eut, bien entendu, une première fois, celle qui marque et que l’on oublie jamais.

Pour rester dans le voyeurisme mais aller plus loin que les photos, il fallait franchir l’étape du réel et du direct …

Le challenge fût donc que Catherine accepte de se mettre intégralement nue, face à un volontaire qu’elle ne connaissait pas. Je serai bien entendu présent et nous ne serions que trois, dans une enceinte protégée. Le fantasme complet devait mener ensuite à une nudité intégrale en public mais chaque chose en son temps …

Elle hésitât, trop longtemps à mon goût, mais il est vrai que ce n’était pas évident.

Elle finit pourtant par accepter un soir du mois d’Août que je vais vous décrire dans le détail …

 

Nous nous sommes installés sur le siège arrière de ma voiture, garée, de nuit, dans un endroit plus que discret et nous avons attendu.

Catherine était blottie dans mes bras, vêtue d'un chemisier en soie noire et d'une jupe courte, boutonnée sur le côté.

Ses yeux verts, délicatement soulignés d'un maquillage noir, semblaient briller dans la nuit. Je sentais son cœur battre la chamade, mélangeant probablement crainte et envie, peur et désir ...  Pas un mot, les poings serrés mais lovée tendrement contre moi.

 

L'un de mes copains, à qui j'avais montré quelques photos suggestives et expliqué le scénario souhaité et surtout ses limites, nous a rejoins.

J'avais confiance en lui et savait qu'il ne tricherait pas et ne chercherait pas plus que ce qui lui avait été promis.

Il s'est installé sur le siège passager avant, sous la douce lumière du plafonnier.

 

Jeune, brun, vêtu de jean, il semblait un peu mal à l'aise mais néanmoins nous remercia pour cette invitation originale et se mit à genoux pour avoir la meilleure vue possible.

 

J'ai senti un imperceptible frisson qui parcourait ta peau, une crainte dans tes yeux mais, tu avais accepté et tu ne pouvais plus reculer, ni pour nous, ni pour ta fierté.

Après un dernier regard, emprunt de doute et d'interrogation, tu as commencé à déboutonner lentement, très lentement  ton chemisier puis l'a ouvert, exposant totalement tes seins, sans même essayer de les cacher.

Après une courte hésitation, la soie glissa également des épaules et la frêle protection rejoignit le sol de la voiture.

Ta peau blanche et laiteuse apparaissait fragile et tendre dans la lumière blafarde de l'unique lampe, seuls les tétons turgescents pointaient vers le ciel démontrant un niveau certain d'excitation. Tu avais déjà montré ta menue poitrine en public, exposée au soleil sur quelques plages mais jamais pour un seul mâle inconnu et dans de telles conditions érotiques.

 

Tu ne bougeais plus, tétanisée, regardant avec intensité notre ami qui ouvrait sa ceinture et exposait un phallus en parfaite érection.

Il baissa également son pantalon afin d'être plus libre, découvrant ses couilles poilues et gonflées.

Il commença à se masturber devant nous sans aucune retenue , avec un plaisir évident, imaginant déjà la suite que tu allais lui offrir.

 

Tu as alors glissé ta main gauche dans la mienne et observé les mouvements réguliers animant ce sexe inconnu poussé à sa rigidité maximale.

 

J'ai serré tendrement ta main pour t'encourager et le jeu a repris. Un par un, tu as détaché les larges boutons de ta jupe et la pièce de tissu a rejoint le chemisier au sol, ne laissant plus comme ultime et réduite protection, qu'un string de soie noire noué sur tes hanches. Ta respiration se fit plus courte, presque haletante pendant que ton partenaire de jeu s'arrêtait puis recommençait afin d'éviter un plaisir trop précoce.

 

A dire vrai, je bandais également comme un fou et tu devais probablement sentir cette pression au creux de tes reins.

 

Pour la première fois, j'allais offrir, à un quasi inconnu, la vue du corps de ma femme intégralement nu.

Une impression étrange de fierté et de trahison m'envahissait.

Certes, il y avait eu les photos et le jeu du voyeurisme mais ici, l'impression de réel était de beaucoup plus forte.

J'allais voir jouir un mec, devant moi, du désir et du plaisir donné par ce corps de rêve qui m'avait tant offert.

 

J'avançais la main vers le  premier nœud et tirait la cocarde qui ne résistât guère, puis le second.

Le léger voile était maintenant simplement posé sur la partie la plus intime de ma jolie compagne.

Après un instant de patience et, les yeux fixés sur mon visage, tu fis glisser la soie, mettant à nu ton sexe fraîchement rasé, offert à nos regards.

Notre ami était de plus en plus rouge et des perles de sueur gagnaient son front.

 

Sans que je ne demande rien, tu écartas alors les cuisses, le plus possible afin de ne rien cacher et deux de tes doigts ouvrirent délicatement tes grandes lèvres comme une invitation à la pénétration. Tu n'avais plus aucune intimité face à ces yeux avides et gourmands qui te pénétraient jusque dans tes refuges les plus secrets ...

Ton regard fixa alors notre compagnon de jeu et, avec un sourire, tu commenças toi aussi un étrange ballet, mêlant aux caresses de ton clitoris une profonde introduction de tes doigts.

Vous vous masturbiez face à face, semblant tous deux rechercher chez l'autre une jouissance maximale.

Le temps s'était comme arrêté et cette image irréelle se gravait en mon esprit de simple spectateur.

J'ai vraiment cru que j'allais, moi aussi, jouir spontanément, même sans caresse, rien que de te voir chercher l'extase, dans mes bras mais tournée vers ce voyeur fantôme.

 

Soudain, tu arrêtas toute caresse et te retournas dans mes bras, exposant ton dos et tes fesses à notre Ami qui n'en demandait pas tant. D'un geste brusque, tu libéras mon sexe et décida de le faire participer de plus près à la fête. Tu te mis à genoux et le glissa entre tes lèvres, exposant ainsi ton sexe mais aussi ton anus à ton futur jouisseur. Sa masturbation était saccadée, sa respiration rapide et bruyante mais il ne perdait rien du spectacle.

 

Ton doigt avait repris son œuvre et le liquide de ton plaisir coulant sur tes cuisses devait rendre luisante ta chatte enflammée, offerte à son regard émerveillé.

Ta bouche suçait, aspirait, léchait ... Ta langue cherchait à s'introduire, de douces et tendres morsures me titillaient ... je ne voyais plus rien, ne maîtrisais plus rien, je me concentrais sur cette vague de plaisir qui montait en moi et que rien ne saurait arrêter. Je t'ai crié d'attendre mais tu as poursuivi sans relâche cette première fellation publique d'anthologie, mon sexe allant et venant dans ce puits de plaisir, de tes lèvres à ta gorge.

 

Encore trois mouvements, encore deux, un, zéro. Je ne suis plus qu'un sexe qui éclate, t'asperge, te tapisse, te remplis, t'envahis, te noie de sperme chaud et lourd que tu t'efforces d'avaler au rythme des giclées. Je te laisse faire, tu domines, je suis à toi, je t'appartiens, je t'aime ...

 

La tension retombe doucement et tu t'allonges de nouveau sur le dos, blottie contre mon corps. Ta main cherche le chemisier et tu recouvres pudiquement ton sexe en feu, ignorant tes seins toujours libres.

Notre inconnu a joui également, longuement, tenant à la main un mouchoir détrempé, hélas insuffisant au regard des tâches blanches maculant le siège.

 

Tu as les yeux fermés et nos cœurs se calment à l'unisson, dans le silence. Nos mains sont unies et serrées, nous communions d'Amour ...

 

Notre bel inconnu s'est rhabillé et a simplement demandé s'il pouvait revoir ton corps nu une dernière fois et le photographier. Complaisante, tu as accepté, retirant l'étoffe pour t'offrir intégralement aux multiples flashes d'un portable qui immortalisèrent cette soirée. Tu pris, avec le sourire, toutes les poses souhaitées puis mis fin à cette séance en te réfugiant de nouveau dans mes bras.

 

Nous nous sommes retrouvés à deux, tendrement enlacés, fier et heureux d'avoir effleuré l'un de nos fantasmes et décidés à trouver d'autres aventures. Tu m'as aidé à retrouver la forme puis tu m'as fait l'Amour, me chevauchant avec tendresse, empalée sur mon membre durci qui t'offrit, de nouveau, le meilleur de lui même ...

 

Nous avons repris la route, toi encore fort dévêtue et plus désirable que jamais, la main sur mon sexe, et moi, ébloui par ces moments magiques dont je revoyais chaque image.

Ta patience et ta persévérance, ta bouche et tes mains, tes caresses tendres et fermes et des dizaines de mots doux ou coquins ont su me redonner vie une troisième fois et, c'est fatigués, enlacés et heureux que nous avons rejoint notre chambre pour une dernière partie qui entama fortement notre nuit de sommeil ...

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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