Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:22

Il y a quelques mois, trois jeunes étalons musclés lui ont proposé une partie collective que Catherine a refusé car elle souhaitait tenir sa promesse envers moi et qu'elle n'avait aucune expérience dans les parties à plusieurs. De plus, la scène devait être filmée et projeté pour tous les présents ce que nous n'avions jamais évoqué ni discuté.

Au contraire, à part le premier jour lors de notre présentation intime, nous avions évité cette mise en avant excessive, lui préférant les chambres plus discrètes même si la scène du repas en avait été un parfait contre exemple inoubliable …

 

Malgré d'intenses négociations auxquelles je n'ai eu nul besoin de participer, Catherine leur a opposé un non ferme et définitif en les orientant vers d'autre jeux  plus individuels et plus discrets, pouvant se terminer par une douche de foutre sur un sexe qu'elle présenterait ouvert, lèvres écartées de ses doigts.

Les trois compères contrariés acceptèrent néanmoins le marché en lui glissant quelques mots à l'oreille. Un peu plus tard, après de multiples caresses données et reçues et quelques introductions de doigts multiples dans ses profondeurs intimes, elle reçue avec un plaisir non dissimulé quelques longues giclées de sperme frais sur son sexe brûlant largement ouvert, chacun se vidant à son tour au plus près des grandes lèvres béantes...

 

Ils partirent rapidement non sans lui adresser quelques sourires et clins d'oeil coquins.

 

Après un court instant nécessaire pour accuser l'effort ,elle me demanda de venir frotter mon sexe sur sa chatte, comme si elle voulait qu'il soit couvert de ces liquides étrangers, puis de m'introduire doucement et profondément au plus profond de son être.

Elle me demanda de me retirer et de recommencer à plusieurs reprises, comme si elle ne voulait rien perdre de ces précieux cadeaux. Elle me demanda même de ne pas oublier les quelques gouttes tombées sur la table ... Enfin, elle me demanda d'aller jusqu'au bout comme pour me mélanger aux trois autres mâles.

 

Ce n’était pas la première fois, depuis notre rencontre,qu'elle possédait en elle du sperme qui ne venait pas de moi, surtout depuis son jeu préféré permettant à ses multiples partenaires d’éjaculer à l’entrée même de son vagin totalement offert, mais cette insistance me parut étrange même si me pliait de bonne grâce à sa demande…

 

Ensuite, elle continua longtemps à caresser son clitoris parfaitement humide, en gardant les yeux fermés.

Je me suis dit qu'elle rêvait probablement à quelques pénétrations de ses beaux étrangers, et qu'un jour, peut être proche, nous franchirions, volontairement ou non, nos propres limites.

 

La nuit suivante fut emplie de tendres câlins et je ne nous avait jamais senti si proche; tendres baisers, douces caresses, nos corps se blottissaient l'un contre l'autre, unis, amoureux.

 

Toute la journée, je l'ai sentie absente, un peu perdue, rêveuse, malgré ses efforts ...


 

Le soir,elle insistât pour retourner au club et se parât d'une superbe tenue, érotique à souhait. De multiples voiles transparents soulignaient son corps et laissaient amplement deviner ses seins et son sexe, nus, bien entendu.

 

Ses trois amis de la veille étaient bien présent, accompagnés de deux jolies tigresses aux tenues particulièrement moulantes. L’une en noir, l’autre en rouge.

 

A ma grande surprise, les deux beautés s’approchèrent de moi et me proposèrent directement des échanges approfondis avec déjà, en guise de préliminaire, une main posée sur mon sexe.

Catherine souriait mais ne disait rien puis elle me fit un oui timide de la tête, ce qui ne manqua pas de m’étonner … Vite repris par mes adorables panthères, je me laissais emmener quelques pas plus loin vers le centre de la pièce.

 

Quelques minutes plus tard, nous étions nus ou presque, elles en mini string de leur couleur fétiche et moi sans rien.

Afin de pimenter un peu, elles me proposèrent de m’attacher les poignets aux espaliers afin, disaient elles, qu’à aucun moment je ne puisse limiter leurs caresses, en tant que dominatrices.

La proposition était attirante et j’acceptais sans réfléchir.

Me voilà donc solidement menotté, les bras en croix, le sexe en érection et le désir au maximum.

 

Catherine observait la scène en riant, toujours avec ses trois compères qui semblaient plus s’intéresser à elle qu’à leurs conquêtes d’origine

Il ne lui a pas fallu longtemps pour allumer le feu …

Ils commencèrent par lui offrir un cocktail aphrodisiaque puis un second qu’elle ingurgita sans discuter …

Sans alcool mais terriblement puissant, ce breuvage entraînait son consommateur à se dépasser sans limite tout en le gardant parfaitement conscient de ses actes.

 

Sexe tendus, ils se masturbaient en la regardant se dévêtir totalement dans une danse lente et plus que suggestive.

Quand ils lui ont demandé, comme la veille, de pouvoir la pénétrer tous ensemble, elle hésita mais ne résista pas bien longtemps.

Elle me jeta un regard désolé comme une petite fille qui va faire une bêtise ou qui est prise en faute puis elle céda.

 

Catherine compris trop tard que ses ébats allaient être filmés et retransmis puisqu’elle arrivait dans le studio …

 

Le premier s'allongea sur le lit surélevé, jambes pendantes.

Portée par les deux autres, elle se retrouva très vite à genoux, empalée sur ce premier sexe dressé vers le ciel, gonflé, tuméfié... Notre pacte venait de voler en éclat …

 

Après quelques caresses de bienvenue, l’homme saisit Catherine par les épaules et l'attira vers lui, collant ses seins contre sa poitrine, en la maintenant fermement afin de dégager ses fesses et son anus

 

Le second complice disposait d’un attribut plus que flatteur, d’une taille hors norme, tant en longueur qu’en diamètre. Le trio n’avait probablement que peu apprécié la résistance de Catherine et ma présence. Le choix de ce partenaire pour prendre cette place n’était sûrement pas innocent de leur part. Ils voulaient, à travers une vengeance sadique, marquer probablement Catherine à jamais … Il la badigeonna de vaseline et commença les prémices d'une sodomie. Il glissa ses doigts dans l'orifice largement offert et, petit à petit il élargit l'accès en cercles concentriques, méthodiquement, augmentant la pénétration au fil du temps. Quand l'accès lui sembla suffisant, il posa son sexe rigide sur sa cible et pénétra lentement, doucement mais régulièrement .... Cela n'en finissait pas et les yeux de Catherine s'embuaient de joie ou de douleur. Les tissus étaient tendus au maximum quand les deux sexes se retrouvèrent et commencèrent leur danse intime.

 

Contrairement à la position allongée sur le dos, la position à genoux de la femme favorise la pénétration profonde de celui qui sodomise. Il impose la cadence et réalise les mouvements les plus amples. Même si nous nous adonnons régulièrement à cette pratique, il était évident que la présence simultanée de deux sexes, dont l’un énorme qui l’enculait, était plus qu’éprouvante mais devait donner des impressions exacerbées ...

 

Le troisième, à genoux devant elle, entra alors en scène, lui enfilant son sexe dans sa bouche, le plus profond possible jusqu'a presque l'étouffer.

Il lui tenait la tête pour l'empêcher de se soustraire et l'introduire jusqu'à la gorge.

 

 

Deux autres hommes, plus jeunes, attirés par cette vue de feu, se positionnèrent à genoux sur le lit, en trois quart face en lui tenant les épaules afin de pouvoir déposer leurs sexes dans ses mains, ce qu'elle accepta volontiers.

 

Les flashes crépitaient pour ne pas oublier cet instant de folie et la caméra filmait en continu, enregistrant  et projetant la scène en direct sur grand écran.

 

Son corps était empalé sur trois énormes sexes rigides qui la martelaient à un rythme saccadé, sa chevelure blonde flottait, parfois plaquée contre son visage par l’un des compères pour que la caméra puisse filmer la moindre expression de plaisir, de peur ou de douleur ou le plus petit geste. Ses seins étaient écrasés, malmenés, pincés, tirés ... par deux mains avides qui cherchaient les tétons pointus pour mieux les préparer à être léchés, sucés, mordillés … ses fesses et ses divers orifices étaient photographiés sous tout les angles par des dizaines de voyeurs déchaînés

Je l'entendais crier comme dans un autre monde, cette scène ne pouvait pas être réelle, ce n'était pas elle, pas moi !!!

J'étais sidéré mais je bandais comme jamais.

 

Les deux derniers arrivés jouirent les premiers, aspergeant ses seins et son dos d'un foutre épais qu'elle étala doucement, comme pour mieux s'en imprégner, puis, ils s'écartèrent pour profiter du spectacle.

 

Le rythme s'accélérait, le corps de Catherine apparaissait martelé et défoncé par la force des assauts mais elle continuait à participer pleinement, sans limites, jusqu'au bout de ses forces tel un frêle esquif perdu dans la tempête.

La sueur perlait sur son corps et la faisait briller comme un joyau dans la nuit, sa peau blanche et laiteuse se détachant sur les peaux bronzées des autres acteurs.

Le temps était suspendu, arrêté. La violence des images était inouïe. Quelques cris rauques rythmaient l’effort accompagnés de quelques gémissements ou murmures de plaisir. L’homme qui la sodomisait jouait parfois à se retirer et à s’introduire de force dans son vagin, rejoignant l’autre sexe pour un écartèlement maximal des chairs. Chaque changement, chaque introduction apparaissait comme un supplice de plus.

 

Ils pensèrent un instant ajouter un gode pour arriver à quatre pénétrations simultanées et l’agitèrent devant les yeux apeurés de leur esclave soumise et sacrifiée, mais renoncèrent, heureusement …

Pour compenser, ils appelèrent un quatrième complice pour doubler la fellation et positionner dans sa bouche deux phallus de front en lui déchirant les lèvres … La scène était hallucinante, quatre bourreaux crucifiant de leurs sexes une femme offerte sans défense.

 

Soudain, ils décidèrent de changer de position et Catherine fut retournée comme un fétu de paille, se retrouvant enculée par le sexe qui sortait de son vagin et pénétrée violemment par le barreau monstrueux qui venait de lui déchirer le cul. Les deux autres sexes reprirent rapidement leurs places dans sa bouche écartelée et deux autres sexes encore se glissèrent dans ses mains pour bénéficier d’une masturbation en règle qui macula rapidement son ventre de flots de foutre chaud.

Ses seins étaient rouges et meurtris, sa peau brillait de sueur et de larmes. Catherine, les yeux fermés, semblait agir mécaniquement, ne maîtrisant ni son plaisir ni sa souffrance, balayée sans ménagement par la violence des assauts. Ce spectacle délirant se prolongeât lui aussi de longues, très longues minutes …

 

Enfin, le chef de cet orchestre fou reprit sa position initiale, retournant de nouveau ce corps sans résistance, soumis, dominé, brisé, laminé, en l’introduisant sans ménagement et en l’enculant plus que violemment de toute la longueur de son sexe, accélérant le mouvement.

 

Les autres complices reprirent position et se déchaînèrent jusqu’à jouir presque en même temps, dans chacun de ses réceptacles maintenant offerts à tous et ils s'éclipsèrent très rapidement avec des rires sarcastiques, sans un mot, laissant chacun une petite claque d'adieu sur ses fesses en guise de remerciement ...

Les deux filles complices avaient quand à elle disparu depuis longtemps …

 

Catherine resta prostrée, comme pétrifiée, caressant son sexe et son anus meurtris, dilatés, déchirés dont s’écoulaient lentement de grosses gouttes blanchâtres.

 

Elle apparaissait seule au milieu de la foule, sous les applaudissements d'hommes et de femmes ébahis par une scène aussi excitante.

La tension avait atteint des sommets rarement vus ici mais déjà d'autres couples de formaient et la caméra, après s’être attardée quelques temps sur les orifices béants et les coulées de sperme, trouva d'autres acteurs ...

 

J’avais enfin obtenu qu’on puisse me libérer de ce piège grossier dans lequel j’avais sombré.

 

Elle me prit alors dans ces bras, les yeux embués de larmes et la voix tremblante en me demandant de lui pardonner, ce que je ne pouvais, évidemment, pas refuser …

 

Elle me disait plein de promesses, sans bien réfléchir ... qu'elle ne recommencerait plus, qu'elle serait mon esclave sexuelle à jamais, rien que pour moi, que je pouvais me venger devant elle, tout de suite, sans limite ...

Son corps tremblait de peur et de douleur, les sanglots l’étouffaient, ses lèvres meurtries portaient encore les traces des deux éjaculations, son sexe en feu et son anus défoncé l’empêchaient de refermer ses cuisses maculées de sperme …

 

J’ai du la prendre dans mes bras et porter ce petit corps meurtri et sali jusqu’à la voiture .

 

Nous sommes rentrés rapidement à la maison

A peine arrivés, je l'ai entraîné sous la douche pour effacer toute trace de souillure. je l'ai frotté de mes mains, j'ai insisté sur ses parties intimes, je l'ai même pénétré de mes doigts pour ne rien laisser de cette débauche

 

Je l'ai posé délicatement dans notre lit, comme un enfant épuisé, des larmes de remords pleins ses grands yeux clairs.

 

Alors, je l'ai prise dans mes bras et nous avons fait l'amour, doucement, sans un mot, sans un bruit et elle s'est laissé faire, sans un mot

Nous avons prolongé le plaisir au maximum, elle n’a pas joui malgré mes efforts mais trop de sanglots la secouaient encore.

 

Le sperme chaud inondant son sexe l'a calmée et rassurée, nous nous aimions toujours, peut être plus … et elle s'est endormie dans le creux de mes bras en murmurant « pardon »

 

Ne vous inquiétez pas, nous sommes retournés au club quelques jours plus tard, reprenant nos règles d'antan : pas de pénétration vaginale ou anale par ou avec un sexe ...

 

Je n'ai pas pris de vengeance car il faut savoir accepter et pardonner, même si ce n'est pas facile mais surtout ne pas aller trop loin au risque de tout perdre.

Je ne voulait surtout pas lui donner un prétexte pour qu'elle recommence un jour …

 

J’ai néanmoins compris ce soir là qu’il y aurait d’autres écarts à notre accord mais j’espérais secrètement qu’ils seraient au moins négociés entre nous, tel des contre exemples confirmant la règle. Il fallait absolument que ces excès apparaissent comme des cadeaux d’Amour …

 

 

Nous n'avons jamais revu les trois athlètes mais, même si elle n'en parle jamais, je crois qu'elle a gardé en elle les souvenirs de cette folle soirée et de cette première en terme de pénétrations multiples et simultanées.

J'ai gardé les photos et le film ... je les regarde  encore parfois en secret !

 

Nous avons maintenant retrouvé nos équilibres et nos jardins secret d'intimité profonde, presque vierges !!

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés