Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:22

Il y a quelques mois, trois jeunes étalons musclés lui ont proposé une partie collective que Catherine a refusé car elle souhaitait tenir sa promesse envers moi et qu'elle n'avait aucune expérience dans les parties à plusieurs. De plus, la scène devait être filmée et projeté pour tous les présents ce que nous n'avions jamais évoqué ni discuté.

Au contraire, à part le premier jour lors de notre présentation intime, nous avions évité cette mise en avant excessive, lui préférant les chambres plus discrètes même si la scène du repas en avait été un parfait contre exemple inoubliable …

 

Malgré d'intenses négociations auxquelles je n'ai eu nul besoin de participer, Catherine leur a opposé un non ferme et définitif en les orientant vers d'autre jeux  plus individuels et plus discrets, pouvant se terminer par une douche de foutre sur un sexe qu'elle présenterait ouvert, lèvres écartées de ses doigts.

Les trois compères contrariés acceptèrent néanmoins le marché en lui glissant quelques mots à l'oreille. Un peu plus tard, après de multiples caresses données et reçues et quelques introductions de doigts multiples dans ses profondeurs intimes, elle reçue avec un plaisir non dissimulé quelques longues giclées de sperme frais sur son sexe brûlant largement ouvert, chacun se vidant à son tour au plus près des grandes lèvres béantes...

 

Ils partirent rapidement non sans lui adresser quelques sourires et clins d'oeil coquins.

 

Après un court instant nécessaire pour accuser l'effort ,elle me demanda de venir frotter mon sexe sur sa chatte, comme si elle voulait qu'il soit couvert de ces liquides étrangers, puis de m'introduire doucement et profondément au plus profond de son être.

Elle me demanda de me retirer et de recommencer à plusieurs reprises, comme si elle ne voulait rien perdre de ces précieux cadeaux. Elle me demanda même de ne pas oublier les quelques gouttes tombées sur la table ... Enfin, elle me demanda d'aller jusqu'au bout comme pour me mélanger aux trois autres mâles.

 

Ce n’était pas la première fois, depuis notre rencontre,qu'elle possédait en elle du sperme qui ne venait pas de moi, surtout depuis son jeu préféré permettant à ses multiples partenaires d’éjaculer à l’entrée même de son vagin totalement offert, mais cette insistance me parut étrange même si me pliait de bonne grâce à sa demande…

 

Ensuite, elle continua longtemps à caresser son clitoris parfaitement humide, en gardant les yeux fermés.

Je me suis dit qu'elle rêvait probablement à quelques pénétrations de ses beaux étrangers, et qu'un jour, peut être proche, nous franchirions, volontairement ou non, nos propres limites.

 

La nuit suivante fut emplie de tendres câlins et je ne nous avait jamais senti si proche; tendres baisers, douces caresses, nos corps se blottissaient l'un contre l'autre, unis, amoureux.

 

Toute la journée, je l'ai sentie absente, un peu perdue, rêveuse, malgré ses efforts ...


 

Le soir,elle insistât pour retourner au club et se parât d'une superbe tenue, érotique à souhait. De multiples voiles transparents soulignaient son corps et laissaient amplement deviner ses seins et son sexe, nus, bien entendu.

 

Ses trois amis de la veille étaient bien présent, accompagnés de deux jolies tigresses aux tenues particulièrement moulantes. L’une en noir, l’autre en rouge.

 

A ma grande surprise, les deux beautés s’approchèrent de moi et me proposèrent directement des échanges approfondis avec déjà, en guise de préliminaire, une main posée sur mon sexe.

Catherine souriait mais ne disait rien puis elle me fit un oui timide de la tête, ce qui ne manqua pas de m’étonner … Vite repris par mes adorables panthères, je me laissais emmener quelques pas plus loin vers le centre de la pièce.

 

Quelques minutes plus tard, nous étions nus ou presque, elles en mini string de leur couleur fétiche et moi sans rien.

Afin de pimenter un peu, elles me proposèrent de m’attacher les poignets aux espaliers afin, disaient elles, qu’à aucun moment je ne puisse limiter leurs caresses, en tant que dominatrices.

La proposition était attirante et j’acceptais sans réfléchir.

Me voilà donc solidement menotté, les bras en croix, le sexe en érection et le désir au maximum.

 

Catherine observait la scène en riant, toujours avec ses trois compères qui semblaient plus s’intéresser à elle qu’à leurs conquêtes d’origine

Il ne lui a pas fallu longtemps pour allumer le feu …

Ils commencèrent par lui offrir un cocktail aphrodisiaque puis un second qu’elle ingurgita sans discuter …

Sans alcool mais terriblement puissant, ce breuvage entraînait son consommateur à se dépasser sans limite tout en le gardant parfaitement conscient de ses actes.

 

Sexe tendus, ils se masturbaient en la regardant se dévêtir totalement dans une danse lente et plus que suggestive.

Quand ils lui ont demandé, comme la veille, de pouvoir la pénétrer tous ensemble, elle hésita mais ne résista pas bien longtemps.

Elle me jeta un regard désolé comme une petite fille qui va faire une bêtise ou qui est prise en faute puis elle céda.

 

Catherine compris trop tard que ses ébats allaient être filmés et retransmis puisqu’elle arrivait dans le studio …

 

Le premier s'allongea sur le lit surélevé, jambes pendantes.

Portée par les deux autres, elle se retrouva très vite à genoux, empalée sur ce premier sexe dressé vers le ciel, gonflé, tuméfié... Notre pacte venait de voler en éclat …

 

Après quelques caresses de bienvenue, l’homme saisit Catherine par les épaules et l'attira vers lui, collant ses seins contre sa poitrine, en la maintenant fermement afin de dégager ses fesses et son anus

 

Le second complice disposait d’un attribut plus que flatteur, d’une taille hors norme, tant en longueur qu’en diamètre. Le trio n’avait probablement que peu apprécié la résistance de Catherine et ma présence. Le choix de ce partenaire pour prendre cette place n’était sûrement pas innocent de leur part. Ils voulaient, à travers une vengeance sadique, marquer probablement Catherine à jamais … Il la badigeonna de vaseline et commença les prémices d'une sodomie. Il glissa ses doigts dans l'orifice largement offert et, petit à petit il élargit l'accès en cercles concentriques, méthodiquement, augmentant la pénétration au fil du temps. Quand l'accès lui sembla suffisant, il posa son sexe rigide sur sa cible et pénétra lentement, doucement mais régulièrement .... Cela n'en finissait pas et les yeux de Catherine s'embuaient de joie ou de douleur. Les tissus étaient tendus au maximum quand les deux sexes se retrouvèrent et commencèrent leur danse intime.

 

Contrairement à la position allongée sur le dos, la position à genoux de la femme favorise la pénétration profonde de celui qui sodomise. Il impose la cadence et réalise les mouvements les plus amples. Même si nous nous adonnons régulièrement à cette pratique, il était évident que la présence simultanée de deux sexes, dont l’un énorme qui l’enculait, était plus qu’éprouvante mais devait donner des impressions exacerbées ...

 

Le troisième, à genoux devant elle, entra alors en scène, lui enfilant son sexe dans sa bouche, le plus profond possible jusqu'a presque l'étouffer.

Il lui tenait la tête pour l'empêcher de se soustraire et l'introduire jusqu'à la gorge.

 

 

Deux autres hommes, plus jeunes, attirés par cette vue de feu, se positionnèrent à genoux sur le lit, en trois quart face en lui tenant les épaules afin de pouvoir déposer leurs sexes dans ses mains, ce qu'elle accepta volontiers.

 

Les flashes crépitaient pour ne pas oublier cet instant de folie et la caméra filmait en continu, enregistrant  et projetant la scène en direct sur grand écran.

 

Son corps était empalé sur trois énormes sexes rigides qui la martelaient à un rythme saccadé, sa chevelure blonde flottait, parfois plaquée contre son visage par l’un des compères pour que la caméra puisse filmer la moindre expression de plaisir, de peur ou de douleur ou le plus petit geste. Ses seins étaient écrasés, malmenés, pincés, tirés ... par deux mains avides qui cherchaient les tétons pointus pour mieux les préparer à être léchés, sucés, mordillés … ses fesses et ses divers orifices étaient photographiés sous tout les angles par des dizaines de voyeurs déchaînés

Je l'entendais crier comme dans un autre monde, cette scène ne pouvait pas être réelle, ce n'était pas elle, pas moi !!!

J'étais sidéré mais je bandais comme jamais.

 

Les deux derniers arrivés jouirent les premiers, aspergeant ses seins et son dos d'un foutre épais qu'elle étala doucement, comme pour mieux s'en imprégner, puis, ils s'écartèrent pour profiter du spectacle.

 

Le rythme s'accélérait, le corps de Catherine apparaissait martelé et défoncé par la force des assauts mais elle continuait à participer pleinement, sans limites, jusqu'au bout de ses forces tel un frêle esquif perdu dans la tempête.

La sueur perlait sur son corps et la faisait briller comme un joyau dans la nuit, sa peau blanche et laiteuse se détachant sur les peaux bronzées des autres acteurs.

Le temps était suspendu, arrêté. La violence des images était inouïe. Quelques cris rauques rythmaient l’effort accompagnés de quelques gémissements ou murmures de plaisir. L’homme qui la sodomisait jouait parfois à se retirer et à s’introduire de force dans son vagin, rejoignant l’autre sexe pour un écartèlement maximal des chairs. Chaque changement, chaque introduction apparaissait comme un supplice de plus.

 

Ils pensèrent un instant ajouter un gode pour arriver à quatre pénétrations simultanées et l’agitèrent devant les yeux apeurés de leur esclave soumise et sacrifiée, mais renoncèrent, heureusement …

Pour compenser, ils appelèrent un quatrième complice pour doubler la fellation et positionner dans sa bouche deux phallus de front en lui déchirant les lèvres … La scène était hallucinante, quatre bourreaux crucifiant de leurs sexes une femme offerte sans défense.

 

Soudain, ils décidèrent de changer de position et Catherine fut retournée comme un fétu de paille, se retrouvant enculée par le sexe qui sortait de son vagin et pénétrée violemment par le barreau monstrueux qui venait de lui déchirer le cul. Les deux autres sexes reprirent rapidement leurs places dans sa bouche écartelée et deux autres sexes encore se glissèrent dans ses mains pour bénéficier d’une masturbation en règle qui macula rapidement son ventre de flots de foutre chaud.

Ses seins étaient rouges et meurtris, sa peau brillait de sueur et de larmes. Catherine, les yeux fermés, semblait agir mécaniquement, ne maîtrisant ni son plaisir ni sa souffrance, balayée sans ménagement par la violence des assauts. Ce spectacle délirant se prolongeât lui aussi de longues, très longues minutes …

 

Enfin, le chef de cet orchestre fou reprit sa position initiale, retournant de nouveau ce corps sans résistance, soumis, dominé, brisé, laminé, en l’introduisant sans ménagement et en l’enculant plus que violemment de toute la longueur de son sexe, accélérant le mouvement.

 

Les autres complices reprirent position et se déchaînèrent jusqu’à jouir presque en même temps, dans chacun de ses réceptacles maintenant offerts à tous et ils s'éclipsèrent très rapidement avec des rires sarcastiques, sans un mot, laissant chacun une petite claque d'adieu sur ses fesses en guise de remerciement ...

Les deux filles complices avaient quand à elle disparu depuis longtemps …

 

Catherine resta prostrée, comme pétrifiée, caressant son sexe et son anus meurtris, dilatés, déchirés dont s’écoulaient lentement de grosses gouttes blanchâtres.

 

Elle apparaissait seule au milieu de la foule, sous les applaudissements d'hommes et de femmes ébahis par une scène aussi excitante.

La tension avait atteint des sommets rarement vus ici mais déjà d'autres couples de formaient et la caméra, après s’être attardée quelques temps sur les orifices béants et les coulées de sperme, trouva d'autres acteurs ...

 

J’avais enfin obtenu qu’on puisse me libérer de ce piège grossier dans lequel j’avais sombré.

 

Elle me prit alors dans ces bras, les yeux embués de larmes et la voix tremblante en me demandant de lui pardonner, ce que je ne pouvais, évidemment, pas refuser …

 

Elle me disait plein de promesses, sans bien réfléchir ... qu'elle ne recommencerait plus, qu'elle serait mon esclave sexuelle à jamais, rien que pour moi, que je pouvais me venger devant elle, tout de suite, sans limite ...

Son corps tremblait de peur et de douleur, les sanglots l’étouffaient, ses lèvres meurtries portaient encore les traces des deux éjaculations, son sexe en feu et son anus défoncé l’empêchaient de refermer ses cuisses maculées de sperme …

 

J’ai du la prendre dans mes bras et porter ce petit corps meurtri et sali jusqu’à la voiture .

 

Nous sommes rentrés rapidement à la maison

A peine arrivés, je l'ai entraîné sous la douche pour effacer toute trace de souillure. je l'ai frotté de mes mains, j'ai insisté sur ses parties intimes, je l'ai même pénétré de mes doigts pour ne rien laisser de cette débauche

 

Je l'ai posé délicatement dans notre lit, comme un enfant épuisé, des larmes de remords pleins ses grands yeux clairs.

 

Alors, je l'ai prise dans mes bras et nous avons fait l'amour, doucement, sans un mot, sans un bruit et elle s'est laissé faire, sans un mot

Nous avons prolongé le plaisir au maximum, elle n’a pas joui malgré mes efforts mais trop de sanglots la secouaient encore.

 

Le sperme chaud inondant son sexe l'a calmée et rassurée, nous nous aimions toujours, peut être plus … et elle s'est endormie dans le creux de mes bras en murmurant « pardon »

 

Ne vous inquiétez pas, nous sommes retournés au club quelques jours plus tard, reprenant nos règles d'antan : pas de pénétration vaginale ou anale par ou avec un sexe ...

 

Je n'ai pas pris de vengeance car il faut savoir accepter et pardonner, même si ce n'est pas facile mais surtout ne pas aller trop loin au risque de tout perdre.

Je ne voulait surtout pas lui donner un prétexte pour qu'elle recommence un jour …

 

J’ai néanmoins compris ce soir là qu’il y aurait d’autres écarts à notre accord mais j’espérais secrètement qu’ils seraient au moins négociés entre nous, tel des contre exemples confirmant la règle. Il fallait absolument que ces excès apparaissent comme des cadeaux d’Amour …

 

 

Nous n'avons jamais revu les trois athlètes mais, même si elle n'en parle jamais, je crois qu'elle a gardé en elle les souvenirs de cette folle soirée et de cette première en terme de pénétrations multiples et simultanées.

J'ai gardé les photos et le film ... je les regarde  encore parfois en secret !

 

Nous avons maintenant retrouvé nos équilibres et nos jardins secret d'intimité profonde, presque vierges !!

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:13

La rencontre suivante se déroula pendant nos vacances, au coeur un petit village du sud de la France.

 

Nous avions reçu une invitation pour une soirée dans la résidence privée de l'une de nos lointaines connaissances, certes connue pour son goût au libertinage mais néanmoins très recommandable.

Catherine ne souhaitait pas trop y aller mais devant mon insistance, elle accepta ce rendez vous ...

 

Longue robe noire au décolleté profond dessiné uniquement par un bandeau noué autour du cou croisé sur les seins, fente découvrant largement la cuisse gauche et maquillage noir intense.

Au cours de l’après midi, j’avais pris la précaution de réaliser un rasage intégral parfait, de calmer la brûlure avec du lait de toilette étalé avec délicatesse afin d’éviter toute rougeur puis j’avais enduit son corps d’une huile parfumée parsemée de paillettes dorées. Largement de quoi séduire les amis de nos amis ... Catherine brillait de tout son charme avant même l'entrée dans cette magnifique villa du bord de mer.

 

Terrain arboré,accueil de rêve, orchestre local, jeunes et jolies femmes, les tonnelles dressées dans le parc regorgeaient de surprises et de victuailles ... une impression de confort et de bon goût … un endroit idéal pour se montrer et être vu !

 

Après avoir fait connaissance avec de nombreux autres couples entre 30 et 50 ans, nous nous sommes mis à danser sur des mélodies calmes et tendres, slows langoureux où chaque femme pouvait se blottir contre le corps de son partenaire.

 

Benoît, le propriétaire , environ 50 ans et Julie, son épouse, une superbe femme d’environ 35 ans, blonde, grande, aux cheveux longs et frisés et aux yeux bleus délicatement maquillés, venaient de faire leur apparition.

Elle attirait les regards avec sa robe dos nu particulièrement échancrée, laissant deviner le début de ses fesses et un décolleté plongeant sur une poitrine parfaitement mise en valeur. Nous pouvions deviner le début d’un tatouage disparaissant sous un voile qui masquait bien partiellement ses seins.

 

Ils se mirent à danser sous le magnifique ciel étoilé qui semblait rendre les scènes un peu irréelles, magiques. L’air était doux et un petit vent coquin soulevait parfois quelques jupes trop courtes laissant apparaître des vues éphémères mais de grande qualité chez de jolies femmes bien peu farouches..

 

Quelque temps plus tard, Benoît descendit les manches de la robe sur les bras de sa compagne, libérant une superbe poitrine parfaitement bronzée, belle à faire damner un saint … les tétons pointaient fièrement vers le ciel, gonflés d’envie et de passion. Le fin tatouage tribal était maintenant exposé aux yeux de tous.

L’ensemble des regards convergea vers eux et certains arrêtèrent même leur danse pour mieux apprécier la beauté. La tension venait de monter d’un cran et le feu s’allumait en chacun des invités.

 


 

La danse continuait sur son rythme envoûtant quand Benoît libéra la fine corde qui resserrait la taille de sa compagne, d’un geste brusque, en reculant d’un pas. Le vêtement de soie tomba sans bruit offrant à tous la vision d’un corps parfait, couvert uniquement d’un petit triangle noir tenu précairement par deux fines cordelettes, délicatement nouées, soulignant les hanches de la belle. Celle-ci, seule, presque totalement dévoilée, nullement intimidée, nous regardait avec un sourire aussi provoquant qu’enjôleur … une véritable invitation au viol !

 

La danse reprit encore et chacun se demandait quelle serait la suite.

 

Doucement, Catherine nous entraîna vers le centre de la scène, non loin des propriétaires fougueusement enlacés. A ma grande surprise, elle dénoua, sans rien dire, le nœud qui attachait la robe à son cou et, ne portant rien d’autre, se retrouva, pour la première fois face à un public aussi nombreux, totalement nue, de dos. Sa peau pailletée brillait sous l’effet conjugué des étoiles et des spots. Etonnée elle-même de ce choix, elle restait collée contre moi, ne présentant qu’un dos sans aucun défaut de bronzage et des fesses d’un blanc laiteux réellement attirantes.

Les regards avaient changé de cible et de nombreux applaudissements soulignèrent cette heureuse initiative.

 

Julie, qui souhaitait rester le centre de l’attention dénoua rapidement le dernier nœud et dévoila un sexe blond doré en forme de mini triangle qu’elle présenta à tous

Catherine n’aimant pas perdre, se retourna vivement le dos collé contre ma poitrine, pour offrir à chacun ses seins blancs et son sexe totalement rasé.

 

La vision était magique dans cette course à l’érotisme et la température monta encore d’un cran, surtout quand les deux femmes se rejoignirent en se prenant la main pour réaliser ensemble un tour d’honneur inoubliable …

 

L’orchestre, un instant subjugué, repris la musique et les couples se reformèrent en laissant ensuite de nombreuses femmes se découvrir partiellement ou totalement à la demande de leurs partenaires.

 

Benoît offrit alors le champagne mais, souhaitant aller encore plus loin dans l’animation et le climat sensuel, il proposa que les femmes servent de coupes à leur partenaire. Julie et Catherine voulurent donner l’exemple.

Nues au milieu d’un cercle abondant de curieux, elles ont attendu que Benoît et moi nous mettions à leur genoux puis elles se sont mutuellement versées une bouteille champagne sur les seins, le sexe ou sur le dos, charge à chacun d’entre nous de récupérer le précieux breuvage sur sa propre partenaire à grand coups de langue, soit au niveau des tétons (Benoît fut avantagé) soit au niveau du clitoris (l’épilation fut un réel plus) soit au niveau des fesses ou de l’anus. Le jeu plut beaucoup et poussa les dernières récalcitrantes à se déshabiller enfin.

 

La soirée fut longue mais Catherine, malgré de multiples invitations, refusa de danser avec toute autre personne que moi pour ne pas devoir coller sa peau à celle d’un autre homme, ce qu’elle n’aurait pas supporté. Le coté voyeur lui plaisait mais elle ne souhaitait nullement aller plus avant et ne plus maîtriser. Ce ne fut pas le cas de Julie qui ne cessa de changer de partenaire, disparaissant parfois de longs moments dans la forêt toute proche

 

Catherine s’occupait de moi ou dansait seule quand les rythmes s’accéléraient.

 

Afin d’attirer régulièrement l’attention sur elle, je lui offrit des petits bijoux à attacher sur les tétons, qui se dandinaient en parfait accord avec ses déhanchements endiablés.

Un peu plus tard, lors du service des desserts, elle se retrouva badigeonnée de chantilly qu’elle alla prestement essuyer sur les seins de Julie … moment de partage et d’échange pleinement érotique, plusieurs fois renouvelé, pour le plus grand plaisir des multiples observateurs.

 

Parfois, entre deux danses, elle me rejoignait et s’installait sur une chaise pour prendre un repos mérité. Je l’ai surprise à répondre au regard insistant de quelques jeunes inconnus, assis tout proche, en écartant les cuisses et en recherchant le plaisir avec son index en écartant des lèvres plus qu’humides. Ses doigts jouaient avec le feu et la provocation et l’exercice se terminait le plus souvent par un écartement total des lèvres ressemblant parfois à une invitation … Concentrée sur son plaisir plus que sur les regards, elle allait parfois si loin qu’elle atteignait l’orgasme ce qui lui a valu au cours d’une extase extrême de se relâcher suffisamment pour ne plus rien contrôler, laissant jaillir son urine sous les yeux émerveillés des spectateurs … Néanmoins gênée, elle fit plus attention les fois suivantes.

 

Un peu plus tard dans la soirée, je lui fit un cadeau, trouvé sur internet. Un joli gode en inox, spécial anus, à porter en continu pour garder la sensation d’avoir cet orifice ouvert. Il est sensé déclencher des sensations supplémentaires plus qu’agréable à chaque mouvement.

Elle voulut l’essayer immédiatement. Heureuse et docile, elle se pencha en avant en posant ses mains sur une chaise afin de me présenter, ainsi qu’aux autres convives, son joli petit anus bien fermé.

Un peu de beurre fit l’affaire et, quelques mouvements habiles de doigts plus tard, j’enfilai la pointe de ce plug anal au plus profond de son cul. Une plaque ronde brillante limitait la pénétration et garantissait la sécurité. Catherine se redressa et fit le tour des invités pour montrer ce magnifique cadeau, décrivant chaque sensation avec précision …

 

La fatigue commençait à monter et restait encore la route pour rejoindre notre résidence estivale. Le temps de retrouver la robe afin de reprendre un peu de dignité et d’intimité et nous allions prendre congé. Curieusement, voulant aller un peu trop vite, Catherine, distraite, enfila la robe à l’envers soit le bustier dans le dos. Plutôt que de la faire glisser autour de sa taille, elle trouva l’idée amusante et noua les deux morceaux de tissus a hauteur de sa gorge, laissant sa poitrine totalement exposée. C’est ainsi qu’elle embrassa la plupart des couples encore présent. Cette image fut particulièrement apprécié par les nombreux admirateurs. Cela permit également à Julie de lui embrasser les seins en guise d’adieu.

 

De retour à la voiture, elle n’eut pas même le courage de rectifier le problème et revint demi nue jusqu’à la maison, ce qui ne fut pas pour me déplaire.

 

 A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:09

Le huitième épisode eut pour décor une sortie moto dans un pays proche mais suffisamment éloigné de notre résidence principale.

N’appréciant guère les pantalons, j’avais conseillé à Catherine une adorable mini jupe en jean, serrée et sexy à souhait. Dès qu’elle s’installait sur la machine le tissu se tendait et montait à des hauteurs inattendues ou inespérées.

Sachant que, dans la majorité des cas, Catherine ne mettait pas de sous vêtement, je vous laisse imaginer où pouvait être entraînée l’imagination parfois délirante de certains.

Hélas, assis au guidon de la moto je ne profitait guère du spectacle mais au vu des réactions en ville ou à l‘arrivée, j’ai été convaincu de la qualité de mon choix. Les yeux des hommes brillaient, certains sifflaient ou applaudissaient ces superbes jambes dénudées qui n’en finissaient pas. Ce n’était qu’un début car la descente de la machine pouvait fort souvent leur offrir la réalisation de tous leurs espoirs en dévoilant des secrets d’intimité fort mal protégés. C’est ainsi que son sexe finit par être bien connu et apprécié de nombre de mes copains de route, très empressés pour aider …

 

Arrivés sur la concentration, nous visitèrent les habituelles expositions de motos anciennes ou modernes ainsi que les multiples stands environnant.

J’offris à Catherine son tout premier string en cuir noir clouté ainsi que le soutien gorge assorti. Elle qui n’en portait pas souvent a pris un malin plaisir à ne porter que ça sous son blouson de cuir totalement ouvert, offrant aux curieux un contraste saisissant entre la couleur des bonnets et sa peau si blanche.

 

La dernière boutique proposait de la peinture sur peau ou bodypainting. J’ai, bien entendu proposé que Catherine puisse servir de modèle à l’artiste, ce, avec le soutien de l’ensemble du groupe. Très réticente, car elle ne souhaitait pas confier ses parties intimes aux soins de quiconque ni se mettre à poil devant autant de motards dont elle connaissait au moins la moitié, elle finit par accepter sous ma tendre pression qui lui vantait le ressenti d’une nouvelle expérience et lui précisait que le peintre ne la toucherait qu’avec des pinceaux …

 

Après négociation sur le type de dessin et la dimension de l’œuvre, elle choisit un dessin pour nu intégral. Ce choix me surprit car, pour une première, elle aurait pu se limiter à la poitrine ou garder un string mais non … toujours excessive en tout, quand elle pouvait décider !

 

Elle se déshabilla sans plus attendre, ce, sans aucune retenue apparente, devant le groupe et bien d’autres curieux subjugués par sa beauté.

Afin de permettre l’application complète du modèle sur son corps, elle décida de laisser raser totalement son sexe au duvet déjà pourtant très court en forme de ticket de métro. Elle me tendit la mousse et le rasoir et devant une foule ébahie et envoûtée, j’ai écarté ses cuisses et commencé le travail.

 

Je reconnais avoir pris mon temps, avoir parfois glissé négligemment un ou plusieurs doigts dans son sexe pour provoquer son sourire, m’être appliqué particulièrement en laissant des vues de folies aux spectateurs et avoir terminé en introduisant profondément le manche du rasoir dans cet orifice si accueillant.

 

Quelques portables immortalisèrent la scène d’une déesse blonde aux yeux fermés qui se laissait raser le sexe devant un public aussi nombreux que ravi. Nul doute que les heureux possesseurs de ces clichés ont du les regarder plus d’une fois et que les échanges sur Internet dépassèrent nos espérances via les réseaux sociaux …

 

Cet exercice terminé, elle demanda aux spectateurs de s’éloigner afin de libérer le concepteur et de le laisser travailler en paix.

Pourquoi ne l’avait elle pas dit plus tôt ? Le plaisir de provoquer, de choquer ou de plaire … sûrement ! l’Amour du voyeurisme à l’état pur …

Je suis donc resté seul à ses cotés en lui tenant les mains.

 

Plus d’une heure plus tard, nous avons pu sortir de l’atelier et nous promener dans les allées en déclenchant un émoi certain, de nombreuses remarques admiratives et de multiples prises de vue … La main sur son épaule, je m’efforçais de lui frayer un chemin et d’éviter les mains par trop baladeuses. Pas toujours facile dans ce type de manifestation virile … elle traversait la foule, recevait quelques tapes sur les fesses, subissait quelques pinçons sur les seins mais elle poursuivait, encore et toujours, fière de se battre d’abord contre elle-même, ses tabous et ses préjugés.

 

Au bout de presque une heure de cet exercice hautement périlleux, elle souhaita rentrer et nous sommes repartis chercher cuirs et casques. Elle enfila la tenue sans un mot au dessus des dessins et, contrairement à son habitude, ferma soigneusement le blouson malgré la chaleur. Elle échangea la micro jupe du départ contre un pantalon de pluie bien inutile sous un ciel parfaitement bleu puis voulu que nous rentrions seuls.

Un dernier geste de la main à autant de mâles déçus de voir s’arrêter leur bonheur et la moto démarra vers d’autres horizons.

 

Arrivés chez nous, elle me demanda de lui faire l’amour tendrement puis de l’emmener sous la douche afin de faire disparaître les couleurs. D’intenses baisers profonds nous unirent durant cet échange quasi silencieux où nos mains se trouvèrent sans peine puis, elle passa un très joli déshabillé transparent et me parla de nos prochaines vacances.

 

Le retour au club de moto fut certes un peu chaud mais elle refusa de voir toute photo ou film et de parler de cette aventure avec quiconque.

 

Un jour, beaucoup plus tard, je lui ai demandé si elle avait regretté, sa réponse fut nette et précise : « pour toi, je le referais » …


 A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:08

Le challenge suivant eût pour décor son propre hôpital

 

J’avais parié avec Catherine qu’elle n’oserait pas exécuter le fantasme bien connu des Infirmières nues sous leur blouse.

Comme d’habitude, elle ne recula pas, et, dès le lendemain, sortit du vestiaire vêtue d’une seule et unique blouse blanche. Mieux valait, pour elle, ne pas apparaître en contre jour !

 

Le vrai problème réside dans le fait qu’une Infirmière réalise beaucoup d’actes en se penchant vers l’avant … injections, pansements, écrits de transmissions ..

La blouse découvre alors non seulement les seins mais aussi, pour les plus attentifs, le début du sexe. Elle donc du prêter la plus grande attention lors de la présence de son collègue masculin, d'un Interne ou d'un Médecin.

Ses collègues féminines avaient remarqué mais, même si elles s’étaient étonné de ce risque et de cette provocation, elles savaient Catherine suffisamment forte pour repousser d’éventuels curieux, voyeurs ou dragueurs …

 

 

L’un de ses patients était un homme mur de 45 ans, malheureusement victime d’un accident vasculaire qui lui avait ôté la parole et l’avait rendu paraplégique du coté droit. Sans famille, il ne recevait jamais de visite et paraissait fort triste.

 

Je lui ai proposé de l’aider dans sa rééducation en lui redonnant un meilleur moral.

Elle devrait, au terme du jeu, en moins de dix jours, le séduire physiquement, s’être déshabillée totalement devant lui, lui avoir laissé le temps d’apprécier son corps sous toutes ses faces et lui avoir réappris la masturbation.

 

Elle hésitât mais valida néanmoins car rien de devait être impossible.

 

Dès le lendemain, elle l’aida a sortir du lit pour gagner le fauteuil en le serrant contre elle pour qu’il comprenne qu’elle ne portait pas de soutien gorge. Puis, elle l’aida à s’installer confortablement en se penchant plusieurs fois vers lui … Le désir était né !

 

Le lendemain, elle refit les même gestes mais, bizarrement, lors du lever, deux pressions s’ouvrirent, dévoilant un sein qu’elle tarda à cacher comme si elle ignorait le problème

 

Le troisième jour, le patient feint de perdre l’équilibre et se rattrapa à la blouse qui ne résistât pas à la traction et s’ouvrit jusqu’à la taille. Afin d’éviter une chute totale, elle négligea son problème et l’installa avant de s’occuper des fermetures défaillantes.

 

Après son jour de repos, elle revint l’après midi, là où le personnel est moins nombreux. Le patient n’avait rien mangé la veille mais il l’accueillit avec le sourire.

 

Le regardant droit dans les yeux et se penchant suffisamment pour décoller la blouse du corps, elle lui demanda ce qu’elle pouvait faire pour lui.

 

Comme il n’osait répondre, elle vérifia que le couloir était vide, ferma soigneusement la porte et s’approcha de lui …


 

Elle ouvrit alors un à un les pressions mais ne s’arrêta pas à la taille et choisit de descendre jusqu’au dernier  Lentement  la fine blouse s’ouvrit, découvrant ses seins et son sexe joliment taillé en rectangle. Elle le laissa admirer quelques minutes, puis entendant du bruit referma prestement la tenue avant de quitter la chambre avec un petit geste de la main

 

Le lendemain, Catherine modifia son organisation et termina par sa chambre au bout du couloir. Il restait trente minutes avant l’arrivée de la relève et sa collègue avait du s’absenter.

 

A peine entrée, elle ouvrit sa blouse d’une main ferme et décidée puis la retira et la posa sur le lit. Elle fit lentement un tour sur elle-même, puis s’assis au bord du lit, écartant ses cuisses. Quand il eu bien maté son sexe, elle se leva, lui tourna le dos et se pencha en maintenant ses fesses écartées pour qu'il apprécie pleinement la fente et l'anus. Il semblait aimer, les yeux brillant, le visage rouge et la peau moite.

Elle le quitta sur l’envoi d’un baiser à distance.

 

Le lendemain dimanche, même situation mais elle avait, de plus, envoyé l’aide soignante dans le service voisin ;

Elle se mit de nouveau totalement nue, se positionna assise près de lui, écarta ses cuisses et écarta ses lèvres de deux doigts habiles. Elle commença la caresse de son clitoris avec l’autre main, cherchant la meilleure position possible pour qu’il ne rate rien. Elle le laissa profiter de la vue puis se retira non sans s'être pénétrée plusieurs fois avec plusieurs doigts.

 

Le jour suivant, après s’être préparée dans les toilettes à grand renfort de vaseline ,elle se masturba face à lui puis s’introduisit l’anus avec un gode. Elle s’approcha, pris sa main et le laissa manipuler le sextoy avec des mouvements de va et vient parfaitement maîtrisés malgré son handicap.

 

Restaient trois jours et donc trois possibilités …

 

Elle réitéra sa séance de nudité totale et lui proposa de se raser le sexe devant lui.

Assise sur le fauteuil, les jambes posées sur les accoudoirs, elle se badigeonna largement de mousse et fit disparaître lentement le fin duvet châtain qui rappelait qu’elle n’était peut être pas naturellement blonde. Elle insista, non seulement sur le devant mais également entre les jambes et le long de son sexe jusqu’à l’anus.

 

Le jour de repos réglementaire et elle revint de nuit

Son patient devait être transféré le lendemain vers un centre de rééducation et nous atteignions la fin du pari.

 

Elle m’avait téléphoné de la rejoindre en entrant par une porte dérobée, ce que je fis avec plaisir. Après les câlins d’usage, nous avons gagné sa chambre vers minuit. Il l’attendait assis dans son fauteuil, parfaitement éveillé.

 

 

Elle se déshabilla totalement, tel un effeuillage en règle, lui permettant d’admirer la qualité du rasage et le résultat.

Elle l'aida à baisser son slip, lui prit sa main valide et la posa sur son sexe puis, posant négligemment sa blouse sur le sol, elle s’allongea sur le lit et écartât les cuisses en me demandant de la rejoindre.

 

Après mes multiples caresses sur ses les parties les plus intime de notre jolie infirmière, qu’il observa avec la plus grande attention, il me regarda lui faire l’amour puis un peu plus tard la sodomiser puis me regaillardir avec une fellation qu’elle avala sans broncher puis, enfin me masturber jusqu’à éjaculation sur ses seins.

Chaque partie fût entrecoupé par une ronde de sécurité dans le service, professionnalisme oblige !

 

Elle se rhabilla, lui caressa la joue et me demanda de l’aider à se recoucher dans le lit encore chaud, imprégné de son parfum. Nous avons du le changer car il avait lui aussi joui plusieurs fois mais il nous fallait bien le remercier …

 

Je me suis éclipsé la laissant à sa surveillance.

 

Je sais qu’elle est allé lui dire au revoir avant son départ et qu’il lui a longtemps tenu la main, partageant notre secret commun

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:06

L’aventure suivante se déroula sous la forme d'une partie de strip poker avec un couple de nos connaissances, Alexandra et Phil., après une soirée peut être un peu trop arrosée. Nous étions néanmoins parfaitement conscient

 

Philippe est un quadragénaire mince aux cheveux foncés et Alexandra doit avoir environ 38 ans, brune aux cheveux longs et aux yeux noisettes, à la poitrine attirante bénéficiant de profonds décolletés et aux longues jambes mises en valeur par une mini jupe en cuir aussi courte que moulante.

 

A l'issue d'un repas en soirée, la conversation s'est orientée sur des sujets un peu érotiques et, pour la première fois de notre vie de couple, nous avons décidé de réaliser une partie de strip poker avec nos amis.

 

Les règles du jeu classiques :

 

Chacun joue pour lui-même

Six vêtements chacun, celui qui perd enlève ce qu'il veut dans l’ordre qu’il souhaite

On regarde mais on ne touche pas ...

 

 

Au bout de vingt minutes, Phil, peu en veine, fut contraint de se mettre nu, laissant apparaître un solide membre en pleine érection surmontant une grosse paire de bourses particulièrement gonflées semblant retenir l'attention intéressée des deux femmes ...

 

Quelques jeux plus tard, Alexandra ne possédait plus que son string, présentant à nos yeux une poitrine lourde et ferme aux aréoles turgescentes et foncées. Les pointes de ses seins étaient gonflées nous permettant d'estimer son degré d'excitation.

 

Enfin, Catherine, qui avait un peu chambré nos partenaires, le regretta en perdant quatre fois de suite et se retrouva dans la même tenue que son Amie, aussi réduite que suggestive.

Curieusement, elle avait préféré se mettre d’abord demi nue avant d’enlever sa jupe, ce qu’avait apprécié pleinement son vis-à-vis …

 

Phil lui demanda de monter sur la table pour être davantage mise en valeur. A ma grande surprise, elle accepta sans discuter, même si la rougeur lui montait aux joues.

 

Les seins blancs étaient toujours aussi désirables, se détachant sur la peau encore légèrement bronzée, leurs pointes rosées fièrement tendues. La cordelette du string noir séparait deux fesses blanches à souhait mais laissait échapper le début d'un duvet châtain clair. La décision de jouer étant  inattendue, elle n'avait pris ni le temps ni la précaution de se raser intégralement ... mais cela ne changeait rien à son charme !

 

Philippe s'est mis debout, s'est approché et lui a demandé de décaler le fin tissu afin d’apercevoir son sexe.

 

Elle refusa, estimant qu'elle n'avait aucune obligation à cet instant du jeu.

 

Il lui proposa alors un pari : Nous reprenions la partie. Si elle gagnait, elle pouvait se rhabiller totalement, si elle perdait, elle devrait se montrer plus docile et obéissante et subirait un gage ... Elle valida la proposition …

 

Dès le premier tour, elle perdit contre moi, avec une simple paire de roi contre un brelan d'as.

 

Elle dut enlever son string, ce qu'elle fit lentement avec beaucoup d'hésitation et de pudeur, apparaissant superbe dans le plus simple appareil. Le gage supplémentaire, choisi par moi, fut l'obligation de se mettre à quatre pattes sur la table, jambes écartées.

 

Seul à pouvoir la toucher, j'ai alors glissé mes doigts dans sa fente introduisant sans mal son sexe détrempé puis, plus doucement, le plus profond de son anus. La position était humiliante mais terriblement suggestive et Phil en profitait largement, laissant Alex, plus que jalouse, s'occuper de lui avec le plus grand soin.

Nous bandions tous deux comme des fous.

 

Son sexe parfaitement lubrifié luisait sous la lumière et le plaisir montait sans limite. Mes doigts  humides glissaient sans relâche dans ses puits de bonheur comme pour les rendre béants, accueillants, accessibles ...

 

Alexandra, quittant un instant son compagnon, vint retirer l’ensemble de mes vêtements afin que je puisse poursuivre mon œuvre sans interruption. Elle en profita lâchement pour vérifier ma virilité et la taille de mes bourses prêtes à éclater sous cette poigne plus que ferme mais Catherine, concentrée sur la montée progressive du plaisir et l’arrivée de l’orgasme ne se rendit heureusement compte de rien

 

Phil, abandonné ou jaloux à son tour , rappela vivement sa masseuse à ses obligations.

 

Catherine a alors joui sous mes doigts, longuement, retenant faiblement ses cris, inondant ses cuisses de bonheur.

Après une longue et tendre étreinte, je lui ai demandé de s'allonger sur la table pour mieux la pénétrer et pouvoir déposer en elle mon précieux liquide

Je pouvais ainsi caresser ses petits seins adorables pendant qu'elle jouait avec mes bourses pour, au moment final, les compresser le plus fort possible, espérant ainsi les vider totalement de leur substance.

 

Alexandra avait cessé ses caresses et avait préféré se mettre au dessus d'un Phil au mieux de sa forme physique. Il lui caressait vigoureusement les seins mais ne cessait de jeter des regards insistants sur les parties intimes de ma jolie compagne.

 

Nous avons enfin explosé tous ensemble dans un déluge de sperme et de cris de bonheur ...

Seul Phil restait songeur car, s'il avait trouvé plus que son plaisir avec Alexandra, il regrettait probablement ne pas avoir étrillé Catherine, pour changer.

Une prochaine fois, peut être ?

 

A ma demande, nous sommes restés nus le reste de la soirée terminée en câlins tendres et amoureux de part et d'autre. Même si nous n'avons pas fixé de rendez vous formel, je pense que nous recommencerons ce type de jeu ...

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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