Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:13

La rencontre suivante se déroula pendant nos vacances, au coeur un petit village du sud de la France.

 

Nous avions reçu une invitation pour une soirée dans la résidence privée de l'une de nos lointaines connaissances, certes connue pour son goût au libertinage mais néanmoins très recommandable.

Catherine ne souhaitait pas trop y aller mais devant mon insistance, elle accepta ce rendez vous ...

 

Longue robe noire au décolleté profond dessiné uniquement par un bandeau noué autour du cou croisé sur les seins, fente découvrant largement la cuisse gauche et maquillage noir intense.

Au cours de l’après midi, j’avais pris la précaution de réaliser un rasage intégral parfait, de calmer la brûlure avec du lait de toilette étalé avec délicatesse afin d’éviter toute rougeur puis j’avais enduit son corps d’une huile parfumée parsemée de paillettes dorées. Largement de quoi séduire les amis de nos amis ... Catherine brillait de tout son charme avant même l'entrée dans cette magnifique villa du bord de mer.

 

Terrain arboré,accueil de rêve, orchestre local, jeunes et jolies femmes, les tonnelles dressées dans le parc regorgeaient de surprises et de victuailles ... une impression de confort et de bon goût … un endroit idéal pour se montrer et être vu !

 

Après avoir fait connaissance avec de nombreux autres couples entre 30 et 50 ans, nous nous sommes mis à danser sur des mélodies calmes et tendres, slows langoureux où chaque femme pouvait se blottir contre le corps de son partenaire.

 

Benoît, le propriétaire , environ 50 ans et Julie, son épouse, une superbe femme d’environ 35 ans, blonde, grande, aux cheveux longs et frisés et aux yeux bleus délicatement maquillés, venaient de faire leur apparition.

Elle attirait les regards avec sa robe dos nu particulièrement échancrée, laissant deviner le début de ses fesses et un décolleté plongeant sur une poitrine parfaitement mise en valeur. Nous pouvions deviner le début d’un tatouage disparaissant sous un voile qui masquait bien partiellement ses seins.

 

Ils se mirent à danser sous le magnifique ciel étoilé qui semblait rendre les scènes un peu irréelles, magiques. L’air était doux et un petit vent coquin soulevait parfois quelques jupes trop courtes laissant apparaître des vues éphémères mais de grande qualité chez de jolies femmes bien peu farouches..

 

Quelque temps plus tard, Benoît descendit les manches de la robe sur les bras de sa compagne, libérant une superbe poitrine parfaitement bronzée, belle à faire damner un saint … les tétons pointaient fièrement vers le ciel, gonflés d’envie et de passion. Le fin tatouage tribal était maintenant exposé aux yeux de tous.

L’ensemble des regards convergea vers eux et certains arrêtèrent même leur danse pour mieux apprécier la beauté. La tension venait de monter d’un cran et le feu s’allumait en chacun des invités.

 


 

La danse continuait sur son rythme envoûtant quand Benoît libéra la fine corde qui resserrait la taille de sa compagne, d’un geste brusque, en reculant d’un pas. Le vêtement de soie tomba sans bruit offrant à tous la vision d’un corps parfait, couvert uniquement d’un petit triangle noir tenu précairement par deux fines cordelettes, délicatement nouées, soulignant les hanches de la belle. Celle-ci, seule, presque totalement dévoilée, nullement intimidée, nous regardait avec un sourire aussi provoquant qu’enjôleur … une véritable invitation au viol !

 

La danse reprit encore et chacun se demandait quelle serait la suite.

 

Doucement, Catherine nous entraîna vers le centre de la scène, non loin des propriétaires fougueusement enlacés. A ma grande surprise, elle dénoua, sans rien dire, le nœud qui attachait la robe à son cou et, ne portant rien d’autre, se retrouva, pour la première fois face à un public aussi nombreux, totalement nue, de dos. Sa peau pailletée brillait sous l’effet conjugué des étoiles et des spots. Etonnée elle-même de ce choix, elle restait collée contre moi, ne présentant qu’un dos sans aucun défaut de bronzage et des fesses d’un blanc laiteux réellement attirantes.

Les regards avaient changé de cible et de nombreux applaudissements soulignèrent cette heureuse initiative.

 

Julie, qui souhaitait rester le centre de l’attention dénoua rapidement le dernier nœud et dévoila un sexe blond doré en forme de mini triangle qu’elle présenta à tous

Catherine n’aimant pas perdre, se retourna vivement le dos collé contre ma poitrine, pour offrir à chacun ses seins blancs et son sexe totalement rasé.

 

La vision était magique dans cette course à l’érotisme et la température monta encore d’un cran, surtout quand les deux femmes se rejoignirent en se prenant la main pour réaliser ensemble un tour d’honneur inoubliable …

 

L’orchestre, un instant subjugué, repris la musique et les couples se reformèrent en laissant ensuite de nombreuses femmes se découvrir partiellement ou totalement à la demande de leurs partenaires.

 

Benoît offrit alors le champagne mais, souhaitant aller encore plus loin dans l’animation et le climat sensuel, il proposa que les femmes servent de coupes à leur partenaire. Julie et Catherine voulurent donner l’exemple.

Nues au milieu d’un cercle abondant de curieux, elles ont attendu que Benoît et moi nous mettions à leur genoux puis elles se sont mutuellement versées une bouteille champagne sur les seins, le sexe ou sur le dos, charge à chacun d’entre nous de récupérer le précieux breuvage sur sa propre partenaire à grand coups de langue, soit au niveau des tétons (Benoît fut avantagé) soit au niveau du clitoris (l’épilation fut un réel plus) soit au niveau des fesses ou de l’anus. Le jeu plut beaucoup et poussa les dernières récalcitrantes à se déshabiller enfin.

 

La soirée fut longue mais Catherine, malgré de multiples invitations, refusa de danser avec toute autre personne que moi pour ne pas devoir coller sa peau à celle d’un autre homme, ce qu’elle n’aurait pas supporté. Le coté voyeur lui plaisait mais elle ne souhaitait nullement aller plus avant et ne plus maîtriser. Ce ne fut pas le cas de Julie qui ne cessa de changer de partenaire, disparaissant parfois de longs moments dans la forêt toute proche

 

Catherine s’occupait de moi ou dansait seule quand les rythmes s’accéléraient.

 

Afin d’attirer régulièrement l’attention sur elle, je lui offrit des petits bijoux à attacher sur les tétons, qui se dandinaient en parfait accord avec ses déhanchements endiablés.

Un peu plus tard, lors du service des desserts, elle se retrouva badigeonnée de chantilly qu’elle alla prestement essuyer sur les seins de Julie … moment de partage et d’échange pleinement érotique, plusieurs fois renouvelé, pour le plus grand plaisir des multiples observateurs.

 

Parfois, entre deux danses, elle me rejoignait et s’installait sur une chaise pour prendre un repos mérité. Je l’ai surprise à répondre au regard insistant de quelques jeunes inconnus, assis tout proche, en écartant les cuisses et en recherchant le plaisir avec son index en écartant des lèvres plus qu’humides. Ses doigts jouaient avec le feu et la provocation et l’exercice se terminait le plus souvent par un écartement total des lèvres ressemblant parfois à une invitation … Concentrée sur son plaisir plus que sur les regards, elle allait parfois si loin qu’elle atteignait l’orgasme ce qui lui a valu au cours d’une extase extrême de se relâcher suffisamment pour ne plus rien contrôler, laissant jaillir son urine sous les yeux émerveillés des spectateurs … Néanmoins gênée, elle fit plus attention les fois suivantes.

 

Un peu plus tard dans la soirée, je lui fit un cadeau, trouvé sur internet. Un joli gode en inox, spécial anus, à porter en continu pour garder la sensation d’avoir cet orifice ouvert. Il est sensé déclencher des sensations supplémentaires plus qu’agréable à chaque mouvement.

Elle voulut l’essayer immédiatement. Heureuse et docile, elle se pencha en avant en posant ses mains sur une chaise afin de me présenter, ainsi qu’aux autres convives, son joli petit anus bien fermé.

Un peu de beurre fit l’affaire et, quelques mouvements habiles de doigts plus tard, j’enfilai la pointe de ce plug anal au plus profond de son cul. Une plaque ronde brillante limitait la pénétration et garantissait la sécurité. Catherine se redressa et fit le tour des invités pour montrer ce magnifique cadeau, décrivant chaque sensation avec précision …

 

La fatigue commençait à monter et restait encore la route pour rejoindre notre résidence estivale. Le temps de retrouver la robe afin de reprendre un peu de dignité et d’intimité et nous allions prendre congé. Curieusement, voulant aller un peu trop vite, Catherine, distraite, enfila la robe à l’envers soit le bustier dans le dos. Plutôt que de la faire glisser autour de sa taille, elle trouva l’idée amusante et noua les deux morceaux de tissus a hauteur de sa gorge, laissant sa poitrine totalement exposée. C’est ainsi qu’elle embrassa la plupart des couples encore présent. Cette image fut particulièrement apprécié par les nombreux admirateurs. Cela permit également à Julie de lui embrasser les seins en guise d’adieu.

 

De retour à la voiture, elle n’eut pas même le courage de rectifier le problème et revint demi nue jusqu’à la maison, ce qui ne fut pas pour me déplaire.

 

 A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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