erotisme

Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:05

Le cinquième histoire eut lieu dans un bar d'hôtel, à l'issue d'une soirée passée sur Paris et je vais prendre un immense plaisir à vous la décrire moi-même ...

 

Catherine portait un chemisier dont j'avais oublié de fermer quelques boutons et une mini jupe grise ayant la particularité de disposer de deux fermetures éclairs permettant de réguler la longueur des fentes découvrant chaque cuisse.

Rien d'autre, en dehors de chaussures à talons haut et de ses bas noirs.

Inutiles de vous expliquer que les fermetures avaient été largement ouvertes au fur et à mesure du temps et que vers une heure du matin, elles découvraient environ huit centimètres d'une peau blanche et laiteuse au dessus des bas.

 

Un dernier verre, avant de regagner la chambre, dans un bar où seuls restaient le barman et un client esseulé.

Catherine était assise face à lui et pouvait l'observer à souhait.

 

Il se mit à avoir un regard insistant et même gênant pour mon adorable partenaire qui n'appréciait pas d'être prise pour une pute et m'en fit part.

Je me suis assis à ses cotés et délicatement mais très visiblement, j'ai ouvert au maximum les deux fermetures, transformant la jupe en sorte de pagne, et enlevé l'intégralité des boutons du chemisier sans l'entrouvrir.

Notre voyeur, observant de fort près la scène, avait du mal à rester calme et d'importantes sueurs lui envahirent le visage. Nous avons néanmoins tranquillement terminé nos boissons.

 

Profitant d'une absence du barman, nous nous sommes levés en nous tenant par la taille et nous sommes approché de ce dernier client. Chaque pas découvrait totalement ses cuisses, presque jusqu'à la taille ...

 

Je me suis alors glissé derrière Catherine qui ne s'y attendait pas et j'ai tout d'abord ouvert et baissé le chemisier sur ses bras, dénudant totalement les épaules et les seins puis, des deux mains, j'ai attrapé le devant de la jupe et l’ai soulevé laissant apparaître son sexe nu couvert d'un fin duvet brun clair, parfaitement taillé en triangle.

 

Catherine était pour la première fois de sa vie intégralement et volontairement nue devant un inconnu surprise ...

 

Je l'obligeais à s'immobiliser quelques instant face à lui pour qu’il la regarde sans gêne et puisse se délecter à souhait.

 

J'ai attendu plusieurs minutes, la laissant exposée sans défense au regard de cet étranger qui ne bougeait pas, pétrifié sûrement par le coté inattendu de la situation, puis j’ai entraîné ma compagne vers notre chambre sans même relever le chemisier.

 

Quelques mètres plus loin, nouvel arrêt et j'ai soulevé l'arrière de la jupe pour découvrir ses fesses, sans opposition de mon adorable compagne, hyper gênée, rouge de honte mais néanmoins contente de cette conclusion, même si elle la mettait fortement à contribution ...

Nous avons discuté longtemps de cette provocation visant à se mettre à nu, à être offerte à des yeux inconnus, devant un parfait étranger ...  

Tabou,quand tu nous tiens !

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:04

A sa demande, le troisième épisode sera conté par Catherine qui souhaite reprendre la plume et profiter de cette excitation qui naît à raconter ses expériences les plus intimes, son ressenti le plus profond, mêlant rêves et réalité …

 

 

Alain m’avait invité au ciné voir un film pornographique, expérience que je n’avais jamais tenté. Je savais d’avance que le document n’aurait rien d’un chef-d’œuvre et que ses qualités artistiques ne m’éblouiraient pas mais il avait tellement l’air passionné ...

Passant devant de rares clients, je me payais même le luxe d’avoir honte en entrant dans cette salle triste à mourir.

 

Alain m’a poussé vers les fauteuils du dernier rang car ils étaient probablement plus discrets que les autres, sans personne derrière pour nous observer.

J’ai du déranger quelqu’un qui occupait le premier siège de l’allée. Il s’est levé complaisamment mais s’est débrouillé pour se coller le plus possible contre moi lorsque je suis passé.

 

Je me suis installé tout au fond, contre le mur et j’ai enlevé mon imperméable.

Comme prévu, le film était vulgaire et glauque à souhait. Je me laissais néanmoins emporter par ces images qui manquaient sûrement de génie mais pas de charme …

 

Soudain, je sens ta main sur mon genou, non, sur ma cuisse, non, entre mes cuisses.

La main va vite et les cuisses sont dociles. Tes doigts s’affolent en dépassant mes bas, éprouvent la douceur de la chair et glissent avidement un peu plus haut, un peu plus loin, un peu plus profond, un peu plus fort. Surprise ? Pas vraiment. Je sens que je mouille et m’avance tout au bord du siège pour faciliter ton œuvre de pénétration d’un ou de plusieurs doigts.

Je vérifie ton érection et m’émerveille de calibrer de mes doigts le barreau qui t’es venu. La base de mon imagination n’est plus mon cerveau mais au bas de mon ventre, entre mes cuisses et mes fesses.

Tu continues ta progression et je décide d’enlever mon slip d’une main, posant mes fesses nues sur le tissus rugueux ce qui m’excite au plus haut point.

 

Je me penche à ton oreille pour te dire mon envie et, sans embarras, tu m’invites à venir m’asseoir sur toi. La proposition me coupe le souffle, je n’oserai jamais ! Tout en refusant l’offre d‘un signe de tête indigné, je jette un œil autour de nous. A notre rang, seul le type qui m’a serré tout à l’heure, devant nous cinq ou six spectateurs passionnés par le film mais ne risquent ils pas de se retourner ?

 

Tu insistes, une main sur mon cou pour m’attirer vers toi et j’essaie de résister. Ta main me lâche et je la suis des yeux, fascinée. Avec une douceur démoniaque tu coulisses ta fermeture éclair vers le bas. et, dans la semi pénombre, ton sexe vient de jaillir. J’ai un regard rapide sur notre voisin mais tu sembles parfaitement l’ignorer, jouant avec ta verge. Tu t’amuses à la décalotter doucement, à la serrer, à tester sa rigidité, à mesurer son envergure.


 

Mon corps capitule avant que ne lui en donne la permission. Le voilà qui se soulève avec précaution et sans bruit. Tu es tout proche mais la distance qui me sépare de toi me semble interminable. Je suis presque debout devant toi, au dessus de toi. Devant, personne ne bouge et je n’ose pas regarder l’autre bout du rang.

Doucement, je me rassoie, tu me guides par la taille. Heureusement que j’ai une jupe large … Je te sens, je te touche, tu es au bord, tu insistes et m’enfiles, doucement, sûrement, sans bruit. Je voudrais bouger, galoper sur toi mais mon cœur bat la chamade et j’ai une peur stupide d’attirer l’attention.

 

Je renonce au va et vient fiévreux, à la chevauchée fantastique et, empalée à fond sur ton membre, me résout, avec regret, à des mouvements de faible amplitude. Ta main qui fait vibrer mon clitoris achève de me rendre folle. J’ai besoin de jouir, vraiment besoin et je suis comme paralysée.

 

Dans mon ventre, c’est le suspens. On attend le signal, on est recueilli, tendu, en arrêt avant la cavalcade libératrice et l’attente dure, dure, dure  !!!

 

Je ne bouge toujours pas mais mon sexe se met à te serrer, à te pomper comme un fou, il t’a trop voulu, trop espéré pour se laisser priver de plaisir par une idiote comme moi. Il bat, il aspire, il respire, il palpite, il vit. Je ne contrôle plus rien …

Je vais jouir de toi mais je vais jouir immobile, figée par la terreur et je sens que ma joie sera triste, frustrante. Alors, je cède soudain à ma folie animale et me voici !

Mon bassin entame une java époustouflante, c’est la charge héroïque et, au sommet, la décharge non moins héroïque.

 

Je suis pétrifiée une fois encore mais cette fois c’est d’extase et je reste ainsi frissonnante, hallucinée, plantant mon regard encore éperdu dans les yeux du gars de l’allée qui a tourné la tête au bruit de ma course et a profité pleinement du spectacle.

 

Je crâne un peu mais je préfèrerai sortir avant la fin de la séance parce que je ne sais pas si j’aurais le courage d’affronter certains coups d’œil au grand jour …

 

Tu cèdes à ma prière et nous voici debout, près du type au bout de la rangée qui tente de glisser sa main sous ma robe en murmurant « Salope ». Je le repousse en lui disant que je l’emmerde et, c’est le sourire aux lèvres que je me retrouves dans la rue, à tes cotés …


 

               Je pensais sincèrement que nombre de nos aventures se dérouleraient dans des lieux fermés, garantissant un minimum d’anonymat toujours sécurisant. Les plages désertes, les forets touffues et la campagne profonde avaient certes donnés des exemples de voyeurisme discret et éphémère mais, il me fut donné de découvrir qu’Alain voulait tout essayer et ne plus se limiter à découvrir un sein ou un sexe mais bien de réaliser nos échanges sexuels non loin du public …

 

Nous nous promenions en ville pour admirer quelques vitrines.

Tu te rapproches soudain de moi et me murmures ton envie soudaine. La confidence m’amuse et m’émeut un peu mais que pouvais je faire pour toi, livrée au jour cru d’une rue commerçante, loin de toute cachette qui nous garantirait au moins une invisibilité partielle …

 

Tu ne me laisses pas m’interroger longtemps, me poussant soudain au hasard d’une porte cochère derrière laquelle tu te serres contre moi pour me faire constater de plus près mon envie mais je m’enfuis en riant, avec des cris simulant l’effroi. La poursuite est homérique, de renfoncements en entrée d’immeubles, de cabine téléphonique en allée obscure, je t’échappe et tu me rattrapes, jouant au chat et à la souris.

 

Tu veux m’étreindre, me maîtriser, me coincer, m’étourdir en me serrant contre toi, en m’embrassant partout et en promenant tes mains sur mon corps. Tu vérifies et découvres que je n’ai pas de slip et cette découverte te galvanise, décuple ton ardeur et tu fouilles sous ma jupe sans vergogne.

Je voudrais crier au secours, au viol mais je ne peux attirer l’attention sur nous car tu continues de plus belle. Les gens pressés, indifférents ou lâches dépassent l’immeuble où je me débat en silence.

 

Je finis par me prendre au jeu ! La lutte est serrée, tu ne m’auras pas … Je m’évade de ta contrainte, je courre dans la rue et me réfugie sans réfléchir dans le premier magasin venu, où tu entres aussi, sur mes talons.

 

Le hasard a choisi une boutique de vêtements et de lingerie et la vendeuse, occupée à refaire sa vitrine propose de nous laisser libre de regarder et d’essayer ce que nous voulons. Cela nous arrange plutôt …

 

Je me dirige vers un rayon de robes et tu m’y suis, l’œil enflammé. Je prend le temps d’examiner quelques modèles mais tu m’attrapes par la taille et m’oblige à contourner la penderie pour disparaître aux yeux de la vendeuse. A l’abri derrière ce paravent, tu entreprend de me déshabiller en collant ta bouche sur la mienne pour empêcher toute manifestation. Et si la vendeuse arrive, si une nouvelle cliente entre ? Tu sembles tout ignorer et tu continue ta mise à nu progressive. J’aperçois les cabines au fond du magasin et tente de m’en rapprocher. Tu suis mon regard, comprends et ne te le fais pas dire deux fois.

 

A peine le temps de tenter de refermer mon chemisier grand ouvert, tu m’entraînes déjà par la main, me tire, me pousse et tu refermes sur nous le rideau de cet isoloir exigu.


 

Je commence à mouiller, cela m'excite de voir tes yeux, je mouille de plus en plus. Quand je pense que je vais probablement me retrouver totalement nue dans la cabine avec juste un rideau de protection, mon trouble augmente.

Tu enfiles tes doigts dans ma chatte et caresse ma fente juteuse, tu tires même parfois sur mes poils. J'ai la chatte inondée et tes doigts me font frissonner

 

Je me dis que tu n’osera pas, que tu ne prendras pas le risque mais c’est bien mal te connaître … Avec toi, il faut s’attendre à tout !

 

Comme je vais protester, tu m’imposes le silence une main sur la bouche et tu me demandes une fellation. Je me dis que tu es fou et moi plus encore puisque je m’exécute sans hésiter. Je me suis assise presque instinctivement sur un petit tabouret destiné à entasser quelques vêtements et, debout devant moi, tu te cambres un peu et te prépares, sans crainte apparente, aux délices d’une fellation quelque peu pittoresque. Je te prends dans ma bouche docile mais inquiète, l’oreille aux aguets.

 

Tu estimes que je ne remue pas assez, alors tu poses tes mains pour me bloquer la tête et te voici qui coulisse amplement en moi, tu vas loin, trop loin, tu vas me faire vomir … il y a dans tes yeux un pétillement de malice quand la vendeuse nous demande si tout va bien. La bouche pleine, je ne peux répondre et tu la rassures d’une voix étrangement calme.

Je commence réellement à m’angoisser. Si elle s’amène, nous serons découverts et ridicules, humiliés. Je renonce, je t’abandonne, j’ai trop peur …

 

Mais tu ne l’entend pas ainsi. Ton corps me barre la route, m’empêche de fuir et tu m’obliges à me retourner et à me pencher vers l’avant en posant les mais sur le tabouret. J’ai beau combattre de toutes mes forces, tu me pénètres si vivement que j’ai failli crier.

Tu commences alors à me prendre comme un forcené, je suis sûre que tu imprimes au rideau des mouvements de tempête, dépêche toi, vide toi, explose en moi, tapisse moi de ton sperme, que cela finisse … Jusqu’où vas-tu m’entraîner dans tes folies …

Ta ruée est impétueuse, torride et je me surprends à apprécier malgré mes peurs, j’oublie tout, la vendeuse, le magasin … La chaleur monte, mon ventre prend feu, je vais jouir, oui, jouir …

 

Je crois que nous avons vibré ensemble. Je me redresse, me défroisse, me détend, attend quelque peu que la rougeur de mes joues disparaisse. Tu te réajustes également et nous sortons, impassible, devant la vendeuse toujours aussi souriante.

 

 A suivre ...

 

Par catherined - Publié dans : erotisme
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:02

De retour d'un congrès à CAEN, il y a quelques années, nous devions prendre le train corail de retour (ancien modèle avec compartiments)

Il faisait beau et je n'avais autorisé qu'un seul vêtement à Catherine en plus de ses chaussures, elle avait donc choisi une robe courte boutonnée sur le devant, ouverte largement sur sa poitrine à ma demande.

 

Tout d'abord seuls, nous avons réalisés quelques caresses intimes en guettant le contrôleur, puis un homme est venu s'installer face à nous et a commencé sa lecture, nous gênant dans nos ébats loin d'être terminés !

Nous sommes restés très tendrement enlacés, échangeant un regard aussi brûlant que complice.

 

J'avais gardé une main délicatement posée sur l'un de ses seins ce qui avait pour effet de dévoiler partiellement l'autre. De plus, avec les mouvements, la jupe remontait petit à petit sur ses cuisses.

Pour des raisons que j'ignore, l'inconnu s'est mis à lire plus distraitement et à perdre son regard sur l'intimité de ma compagne.

Observant le jeu et la rougeur de notre voisin, tu pris un malin plaisir à découvrir progressivement tes cuisses, suffisamment haut pour qu'il comprenne que tu ne pouvais pas avoir de sous vêtement.

Son regard devenait plus intense et surtout plus insistant.

 

Quelques petits mouvements plus tard, l'homme apercevait de moins en moins subrepticement le sexe légèrement humide qui s'offrait gracieusement à ses yeux ...

Le teint de l'intéressé devenait très coloré et la sueur perlait sur son front d'autant que mes tendres caresses dévoilaient de plus en plus la menue poitrine de Catherine qui ne s'en offusquait nullement et s'amusait de la situation.

 

Le temps passant, les jambes s'écartèrent jusqu'à offrir une vision parfaite et particulièrement suggestive d'un sexe parfaitement rasé.

 

Catherine y glissa un premier doigt pour caresser doucement le clitoris puis, quelques minutes plus tard, un second pour ouvrir plus largement sa chatte trempée aux yeux de notre visiteur de passage.

Elle s’apprêtait à aller encore plus loin en introduisant d’autres doigts mais, le malheureux n'y tenant plus, s'est levé brusquement et a disparu dans les toilettes pour quelques temps !

 

Elle a terminé doucement ses caresses en relevant totalement sa jupe pour me faire bénéficier également du spectacle et après un baiser langoureux et un regard intéressé de ma part sur ce dont avait bénéficié notre compagnon de route, nous avons pu reprendre nos caresses et câlins ...


 

Echauffé par cette provocation, me vint alors l’idée d’aller beaucoup plus loin. Je pris la main de Catherine et lui demanda de m’accompagner dans le couloir.

 

La fixant droit dans les yeux, je déboutonnais entièrement sa robe et la laissa tomber sur le sol. Elle apparût totalement nue et se demanda avec une sorte d’effroi ce qui se passerait si quelqu’un sortait d’une cabine voisine.

Peu m’importait, elle m’avait provoquée et cette situation m’excitait terriblement.

 

J’ai commencé par lui caresser les seins, les pétrissant sans ménagement, les pinçant doucement lui arrachant de petits cris et des sursauts de défense. Ma bouche s’attarda sur ses extrémités hypersensibles. Elle me supplia de retourner au moins dans le compartiment mais je l’ai maintenu par les poignets jusqu’à soumission.

 

Le jeu pouvait reprendre … Après avoir glissé ma main entre ses cuisses que j’écartais avec autorité, je l’ai forcé gentiment à baisser la nuque jusqu’à ma ceinture. J’ai alors poussé, entre ses lèvres, mon sexe échauffé par le piment de la situation et me suis laissé bercer par le rythme de ses succions et la précision de petits coups de langue rageurs.

Elle retira sa bouche sans avoir terminé et me supplia de nouveau pour revenir au moins sur le siège.

 

Je l’ai pris dans mes bras et l’ai transporté jusque la fenêtre du compartiment. Elle était debout, je l’ai saisi par la taille et l’ai retourné sans douceur,

Elle posa ses mains sur la barre d’appui de la fenêtre et attendit la suite, impatiemment, ses seins exposés librement aux éventuels voyageurs patientant dans de petites gares non desservies.

J’ai passé mes bras autour de son buste et j’ai caressé de nouveau ses petits seins adorables.

En pesant sur elle, je l’ai obligée à se courber et à poser ses mains sur le bas de la fenêtre. Elle s’y accrocha instinctivement des deux mains, serrant de toutes ses forces, pendant que j’écartais ses fesses. Cette position délicieuse montrait tout de ton anatomie et l’arrivée d’un éventuel contrôleur l’aurai mise dans une situation plus que délicate …

 

Je fus surpris par l’humidité dans laquelle je plongeais maintenant mes doigts et en badigeonna littéralement le sillon et l’anus, plus que largement, laissant pénétrer délicatement mon majeur enduit de la précieuse liqueur dans le passage interdit qui s’ouvrait devant moi.

 

Je posais alors mon gland contre son anus et appuyais de toutes mes forces, pénétrant d’une poussée, avant de marquer une pause pour laisser l’étui s’adapter à l’instrument. Je m’enfonçai ensuite d’un seul coup jusqu’au plus profond.

Le bref cri de douleur, néanmoins retenu pour ne pas alerter les voisins, ne me décourageât nullement.

 

Je restais immobile pendant quelques secondes puis entamât un long mouvement à l’intérieur de ses reins

Provocatrice, elle murmura « encore » et « plus fort ».

Je l’ai achevée méthodiquement, l’écrasant contre la vitre froide de la fenêtre avant de lui offrir toute mes réserves de jouissance.

Elle resta agrippée, les reins offerts, les cheveux défaits et collés par la sueur.

Je me suis ensuite retiré, reculant de quelques pas pour admirer ce cul accueillant et sensible avant de l’aider à revêtir sa robe et de l’étreindre longuement avec forces baisers tendresse.

 

Quand le contrôleur est passé, quelques cinq minutes plus tard, elle était blottie dans mes bras, pantelante, ivre de plaisir et de peur et rêvait, les yeux clos, à nos aventures passées, présentes et à venir …

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 14:00

Suite du fantasme, la seconde étape, publique cette fois, fût franchie lors de vacances sur la côte d'azur.

Je laisse à Catherine, principale actrice de ce prologue, le plaisir de raconter ses impressions. Elle le fera certainement beaucoup mieux que moi ...

 

Nous avions repéré une plage tranquille où le naturisme était toléré. Les hommes et les femmes qui  fréquentaient l'endroit étaient plutôt jeunes.

Au début, je n'ai pas osé retirer non maillot car je n'étais, jusqu'à ce jour, jamais apparue intégralement nue devant un ou plusieurs inconnus.

Allongée sur le ventre, je défaisait simplement le lacet de mon top et me bronzait le dos pour éviter toute marque disgracieuse.

Un après midi, après m'être baignée, j'ai enlevé le haut et offert mes petits seins blanc à la caresse du soleil. Les marques de bronzage les mettaient particulièrement en valeur, me donnant l''impression que toute la plage avait les yeux fixés sur moi ...

J'ai fermé les yeux et goûté à cette douce chaleur qui me pénétrait, brûlant ma peau douce et fragile, presque vierge.

Plus mes tétons chauffaient,plus je ressentais une excitation entre mes cuisses.

 

Autour de moi, il y avait bien une dizaine de mâles, bronzés et athlétiques mais Alain veillait, bienveillant mais jaloux.

Il prit plaisir à me badigeonner la poitrine de crème solaire, doucement, lentement, jouant avec le bout de mes seins qui répondaient à ses caresses en pointant vers le ciel, durs, gonflés, sensibles. J'avoue que la tension montait en moi, j'avais envie de faire l'Amour ... J'imaginais son sexe gonflé de désir se frotter entre mes cuisses et ses doigts écartant mes poils, séparant mes lèvres mouillées de désir. Plus j'imaginais, plus j'avais envie. Mon bas ventre s'ouvrait doucement, ma fente devenait impatiente. J'ai frotté mes cuisses l'une contre l'autre pour me calmer et puis je me suis installé sur le ventre pour frotter délicatement ma chatte en feu contre la serviette.

 

Deux des types se sont levés pour aller se baigner et j'ai vu leurs queues longues et désirables. Cette vision m'a amené d'autres rêves érotiques ... Je suçais leurs queues, je les laissais glisser au fond de ma gorge, je mouillais leurs glands à grands coups de langue, séparément ou ensemble, je titillait le centre de leur gland comme pour m'introduire, je leur faisais plaisir et j'en prenais plein la bouche ... Pendant que je suçais, ils me pelotaient les seins, m'embrassaient sur tout le corps,  jouaient avec mon clitoris, me pénétraient de leurs doigts et je jouissait ... Puis ils me léchaient, me suçaient le clitoris enfilant leurs langues au plus loin dans mon vagin et j'explosais ...enfin, ils me pénétraient, me remplissaient, me défonçaient et je m'éclatais sous les coups de boutoir et les gerbes de sperme qui m'envahissaient ...

Alain s'est redressé et m'a ramené, sans le savoir et sans le vouloir, dans la réalité.

 

Néanmoins, j'avais toujours aussi faim de sexe et de caresses.

 

Il m'a taquiné jusqu'à ce que je me lève et accepte de retirer mon slip. J'ai fini par céder s'il retirait le sien d'abord. Ca ne sembla lui poser aucun problème et il se mit à nu sans hésitation.

J'ai lentement descendu la légère pièce de tissus et, quand mon slip a glissé sur mes hanches et mes cuisses, j'ai ressenti une vraie jouissance.

J'étais intégralement nue, dehors, devant des étrangers que je n'osais évidemment pas regarder. J'ai eu un orgasme debout, rien qu'en montrant mon sexe entrouvert et mes poils couverts de mouille ...

Je suis restée sans bouger, immobile, pétrifiée, tremblante d'avoir joui en public.

 

Alain m'a aidé à m'allonger et a entrepris un massage complet sous le regard de nos voisins plus qu'intéressés.

Je n'en pouvais plus, j'avais envie de faire l'amour à tout prix, de crier,de jouir. J'avais envie et besoin de sentir ton sexe entre toutes mes lèvres, de te sucer, de me faire baiser, enculer ...

Tu bandais à fond et ne pouvais plus décemment te présenter de face.

Tu t'es calmé peu à peu pendant que j'offrais ma chatte entrouverte au soleil et au vent. J'écartais mes cuisses en grand.

Insatisfait de l'assaut précédent, tu m'as caressé plus haut, et doucement masturbée en effleurant et en frôlant mes lèvres et mon clitoris.

 

Nous sommes allés nager pour essayer de nous calmer. Tu me touchais partout et je te répondais en caressant ton sexe sous l'eau. Tu étais raide, prêt à jouir ... Nous avons hésités à faire l'Amour dans l'eau, face à la plage, mais j'ai préféré attendre.

 

Le soir approchait et la plage se vidait. Nous étions maintenant peu nombreux sur le sable.

 

J'ai vu un couple de nudiste s'embrasser, rouler l'un contre l'autre, le sexe durci de l'homme pénétrant sa compagne, sans retenue. Il baisait en public où presque ...

 

Tu t'es alors jeté sur moi, j'étais prête et consentante. Tu m'ouvrais la bouche avec tes doigts pour y glisser ton sexe, tu écartais mes grandes lèvres avec ta queue et je me suis retrouvée embrochée...  J'étais fouillée, pillée par tes mains, ton membre ... Je gémissais de plaisir. Nous avons baisé comme des fous dans le soleil couchant.

Tu me faisais prendre toutes les positions, sur le dos, en levrette, sur toi. Je te suçais, te baisais sans réfléchir, sans fin, sans limite. Tu jouais de ta bouche, de tes doigts, de ton sexe. Tu as écarté mes fesses rondes, léché mon anus, pénétré mon cul avec ton index, me sodomisant sans problème. Je t'ai chevauché, ma chatte sur ta bouche, ma bouche sur ton membre, j'ai avalé ton foutre épais et t'ai masturbé pour mieux recommencer.

Tu m'as enfin empoignée par les hanches, en tirant mon bassin en arrière pour me fourrer ta pine jusqu'au plus profond de moi. Tu jouais avec mon clitoris, je vibrais, le plaisir montait, montait comme une vague ...

J'ai joui, joui, joui, face à la mer, me foutant des autres et de leurs regards.

J'ai joui, pour moi, pour toi, pour nous, sans réserve

 

Je venais de me faire sauter en public et j'avais adoré !!!

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 13:59

Il y eut, bien entendu, une première fois, celle qui marque et que l’on oublie jamais.

Pour rester dans le voyeurisme mais aller plus loin que les photos, il fallait franchir l’étape du réel et du direct …

Le challenge fût donc que Catherine accepte de se mettre intégralement nue, face à un volontaire qu’elle ne connaissait pas. Je serai bien entendu présent et nous ne serions que trois, dans une enceinte protégée. Le fantasme complet devait mener ensuite à une nudité intégrale en public mais chaque chose en son temps …

Elle hésitât, trop longtemps à mon goût, mais il est vrai que ce n’était pas évident.

Elle finit pourtant par accepter un soir du mois d’Août que je vais vous décrire dans le détail …

 

Nous nous sommes installés sur le siège arrière de ma voiture, garée, de nuit, dans un endroit plus que discret et nous avons attendu.

Catherine était blottie dans mes bras, vêtue d'un chemisier en soie noire et d'une jupe courte, boutonnée sur le côté.

Ses yeux verts, délicatement soulignés d'un maquillage noir, semblaient briller dans la nuit. Je sentais son cœur battre la chamade, mélangeant probablement crainte et envie, peur et désir ...  Pas un mot, les poings serrés mais lovée tendrement contre moi.

 

L'un de mes copains, à qui j'avais montré quelques photos suggestives et expliqué le scénario souhaité et surtout ses limites, nous a rejoins.

J'avais confiance en lui et savait qu'il ne tricherait pas et ne chercherait pas plus que ce qui lui avait été promis.

Il s'est installé sur le siège passager avant, sous la douce lumière du plafonnier.

 

Jeune, brun, vêtu de jean, il semblait un peu mal à l'aise mais néanmoins nous remercia pour cette invitation originale et se mit à genoux pour avoir la meilleure vue possible.

 

J'ai senti un imperceptible frisson qui parcourait ta peau, une crainte dans tes yeux mais, tu avais accepté et tu ne pouvais plus reculer, ni pour nous, ni pour ta fierté.

Après un dernier regard, emprunt de doute et d'interrogation, tu as commencé à déboutonner lentement, très lentement  ton chemisier puis l'a ouvert, exposant totalement tes seins, sans même essayer de les cacher.

Après une courte hésitation, la soie glissa également des épaules et la frêle protection rejoignit le sol de la voiture.

Ta peau blanche et laiteuse apparaissait fragile et tendre dans la lumière blafarde de l'unique lampe, seuls les tétons turgescents pointaient vers le ciel démontrant un niveau certain d'excitation. Tu avais déjà montré ta menue poitrine en public, exposée au soleil sur quelques plages mais jamais pour un seul mâle inconnu et dans de telles conditions érotiques.

 

Tu ne bougeais plus, tétanisée, regardant avec intensité notre ami qui ouvrait sa ceinture et exposait un phallus en parfaite érection.

Il baissa également son pantalon afin d'être plus libre, découvrant ses couilles poilues et gonflées.

Il commença à se masturber devant nous sans aucune retenue , avec un plaisir évident, imaginant déjà la suite que tu allais lui offrir.

 

Tu as alors glissé ta main gauche dans la mienne et observé les mouvements réguliers animant ce sexe inconnu poussé à sa rigidité maximale.

 

J'ai serré tendrement ta main pour t'encourager et le jeu a repris. Un par un, tu as détaché les larges boutons de ta jupe et la pièce de tissu a rejoint le chemisier au sol, ne laissant plus comme ultime et réduite protection, qu'un string de soie noire noué sur tes hanches. Ta respiration se fit plus courte, presque haletante pendant que ton partenaire de jeu s'arrêtait puis recommençait afin d'éviter un plaisir trop précoce.

 

A dire vrai, je bandais également comme un fou et tu devais probablement sentir cette pression au creux de tes reins.

 

Pour la première fois, j'allais offrir, à un quasi inconnu, la vue du corps de ma femme intégralement nu.

Une impression étrange de fierté et de trahison m'envahissait.

Certes, il y avait eu les photos et le jeu du voyeurisme mais ici, l'impression de réel était de beaucoup plus forte.

J'allais voir jouir un mec, devant moi, du désir et du plaisir donné par ce corps de rêve qui m'avait tant offert.

 

J'avançais la main vers le  premier nœud et tirait la cocarde qui ne résistât guère, puis le second.

Le léger voile était maintenant simplement posé sur la partie la plus intime de ma jolie compagne.

Après un instant de patience et, les yeux fixés sur mon visage, tu fis glisser la soie, mettant à nu ton sexe fraîchement rasé, offert à nos regards.

Notre ami était de plus en plus rouge et des perles de sueur gagnaient son front.

 

Sans que je ne demande rien, tu écartas alors les cuisses, le plus possible afin de ne rien cacher et deux de tes doigts ouvrirent délicatement tes grandes lèvres comme une invitation à la pénétration. Tu n'avais plus aucune intimité face à ces yeux avides et gourmands qui te pénétraient jusque dans tes refuges les plus secrets ...

Ton regard fixa alors notre compagnon de jeu et, avec un sourire, tu commenças toi aussi un étrange ballet, mêlant aux caresses de ton clitoris une profonde introduction de tes doigts.

Vous vous masturbiez face à face, semblant tous deux rechercher chez l'autre une jouissance maximale.

Le temps s'était comme arrêté et cette image irréelle se gravait en mon esprit de simple spectateur.

J'ai vraiment cru que j'allais, moi aussi, jouir spontanément, même sans caresse, rien que de te voir chercher l'extase, dans mes bras mais tournée vers ce voyeur fantôme.

 

Soudain, tu arrêtas toute caresse et te retournas dans mes bras, exposant ton dos et tes fesses à notre Ami qui n'en demandait pas tant. D'un geste brusque, tu libéras mon sexe et décida de le faire participer de plus près à la fête. Tu te mis à genoux et le glissa entre tes lèvres, exposant ainsi ton sexe mais aussi ton anus à ton futur jouisseur. Sa masturbation était saccadée, sa respiration rapide et bruyante mais il ne perdait rien du spectacle.

 

Ton doigt avait repris son œuvre et le liquide de ton plaisir coulant sur tes cuisses devait rendre luisante ta chatte enflammée, offerte à son regard émerveillé.

Ta bouche suçait, aspirait, léchait ... Ta langue cherchait à s'introduire, de douces et tendres morsures me titillaient ... je ne voyais plus rien, ne maîtrisais plus rien, je me concentrais sur cette vague de plaisir qui montait en moi et que rien ne saurait arrêter. Je t'ai crié d'attendre mais tu as poursuivi sans relâche cette première fellation publique d'anthologie, mon sexe allant et venant dans ce puits de plaisir, de tes lèvres à ta gorge.

 

Encore trois mouvements, encore deux, un, zéro. Je ne suis plus qu'un sexe qui éclate, t'asperge, te tapisse, te remplis, t'envahis, te noie de sperme chaud et lourd que tu t'efforces d'avaler au rythme des giclées. Je te laisse faire, tu domines, je suis à toi, je t'appartiens, je t'aime ...

 

La tension retombe doucement et tu t'allonges de nouveau sur le dos, blottie contre mon corps. Ta main cherche le chemisier et tu recouvres pudiquement ton sexe en feu, ignorant tes seins toujours libres.

Notre inconnu a joui également, longuement, tenant à la main un mouchoir détrempé, hélas insuffisant au regard des tâches blanches maculant le siège.

 

Tu as les yeux fermés et nos cœurs se calment à l'unisson, dans le silence. Nos mains sont unies et serrées, nous communions d'Amour ...

 

Notre bel inconnu s'est rhabillé et a simplement demandé s'il pouvait revoir ton corps nu une dernière fois et le photographier. Complaisante, tu as accepté, retirant l'étoffe pour t'offrir intégralement aux multiples flashes d'un portable qui immortalisèrent cette soirée. Tu pris, avec le sourire, toutes les poses souhaitées puis mis fin à cette séance en te réfugiant de nouveau dans mes bras.

 

Nous nous sommes retrouvés à deux, tendrement enlacés, fier et heureux d'avoir effleuré l'un de nos fantasmes et décidés à trouver d'autres aventures. Tu m'as aidé à retrouver la forme puis tu m'as fait l'Amour, me chevauchant avec tendresse, empalée sur mon membre durci qui t'offrit, de nouveau, le meilleur de lui même ...

 

Nous avons repris la route, toi encore fort dévêtue et plus désirable que jamais, la main sur mon sexe, et moi, ébloui par ces moments magiques dont je revoyais chaque image.

Ta patience et ta persévérance, ta bouche et tes mains, tes caresses tendres et fermes et des dizaines de mots doux ou coquins ont su me redonner vie une troisième fois et, c'est fatigués, enlacés et heureux que nous avons rejoint notre chambre pour une dernière partie qui entama fortement notre nuit de sommeil ...

 

A suivre ...

Par catherined - Publié dans : erotisme
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